Sensation (2)

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Moi, c'est Eren Jager , je suis au lycée en première année et j'ai dix sept ans , j'en aurais dix huit dans trois mois. Je viens d'une famille plutôt enfin je vais pas vous mentir mais très influent donc comme vous pouvez le comprendre côté financier, j'ai aucun problème. Certains privilèges me sont accordés facilement donc j'ai pas à mon plaindre. Je suis plutôt, froid et distant quand on s'approche trop de moi, j'ai horreur de ça. Respirer le même air que tous ces moins que rien me dégoûte et me frustre que parfois j'abuse d'un certain pouvoir pour me les mettre dans la poche ou qu'il ne m'approche plus. Mon comportement doit vous paraître ou vous faire pensé que je suis le dernier des connards et je le suis, j'aime qu' on me mange dans la main c'est si bon d'être au dessus de tout. Mes amis que je trimballe savent de quoi, je suis capable, je n'ai peur de rien, ni de personnes. Pour vous avouez, on m'a toujours considérer comme un apport financier juteux , des véritables amis je n'en ai pas vraiment, des personnes réellement de confiance je n'en connais pas non plus tous ce qu'ils veulent de moi, c'est mon argent, la réputation, la gloire. Ma mère me conseille toujours de ne pas me tromper car un jour viendra où je passerais à côté de la personne qui m'aimera pour ce que je suis réellement, d'ici là écoute ton cœur, ressent les véritables sentiments et là tu sauras. Ces paroles sont toujours là dans un coin de ma tête mais jusqu'à présent c'était toujours des déceptions. Voilà pourquoi je suis ce que je suis aujourd'hui et sa ne changera plus jamais. La confiance, l'honnêteté n'a pas sa place avec moi donc je suis devenu l'idéal de toutes jalousie mais de loin. Je suis un leader, personne ne me résiste , je prends,je jette c'est désormais ma façon de pouvoir continuer à vivre tout en faisant ressentir aux autres ma supériorité dont je fais preuve.
Ma conscience , ma raison me rappelle quelque fois à l'ordre mais je l'emmerde , je suis maître de mes décisions et mes foutus sentiments ne me feront aucunement changer d'avis sur cette question. Je vis avec ma mère, la seule personne encore que je respecte, que j'écoute et dont j'ai une confiance aveugle, mon père décédé dans un accident de voiture , de ce que ma mère m'a dit mais c'était un grand homme, respectés des autres subalternes , des employés, de tous.
Je suis adulé par toutes personnes , filles et garçons , j'en ai bien mit dans mon lit pour une heure ou deux, après avoir bien baisé, je les paie , c'est ce qu'ils ou elles désirent le plus, ce faire du pognon presque gratuitement. Moi sa me dérange pas tant que je peux me vider et ensuite rentré chez moi dans mon appartement situé au centre de la ville. Je ramènes personnes chez moi, c'est mon endroit où aucun ne viendra souillé. La rentré prochaine risque d'être de nouveau mouvementé pour moi, enfin ce que je veux vous dire c'est tous les élèves qui m'adule comme si je suis un dieu, faut dire que sa me dérange pas trop tant qu'on me touche pas sans y avoir était autorisé. Les trois gars qui traînent avec moi, sans comment vous expliquez des hommes de main , voilà c'est le mot que je cherchais. Tous ce que je voudrais savoir , renseignements, filatures ou même passé à tabac qu'ont sent prend à ma personne même de loin. C'est grave d'en arriver quelques fois là mais s'il cherche la merde , je leurs donne ce qu'il demande non, sinon qu'ils ne s'arrête pas devant moi c'est clair. Mais aucun problème depuis longtemps que je commence à m'ennuyer grave , tout est devenu routine que je commence à trouver le temps , les journées longues et fade . C'est comme si, plus rien ne m'intéresse, la nouveauté je veux bien mais en regardant autour de moi c'est une photo de plus en plus amère que mes yeux ne trouve plus d'intérêt à regarder. Cette fin de matinée, je passe avec mes potes et ont marchent sans but réel, nos pas nous conduit au parc . Mes trois potes s'embête, rires pendant que moi, mon regard longe les abord du parc, le soleil est très haut et la chaleur commence à être irrespirable mais cette petite brise d'air viens tout de même rafraîchir. Toujours le regard qui s'évade sur chaques personnes qui se trouvent ici, mes yeux tombe sur un jeune garçon, assit sur un banc , un regard perdu, vide je dirais. Il n'avait pas l'aire d'être bien enfin c'est pas que je m'inquiète, je m'en contre fiche royalement mais il m'intrigue c'est la première fois d'ailleurs que je voudrais apprendre à connaître quelqu'un d'autre. Ce qui m'étonne de moi même, je n'y comprends pas vraiment pourquoi et cette chose, ce sentiment de merde me guide vers lui pourquoi c'est la question à un milliard . Le regardant bien même s'il est de l'autre côté du parc , je peux très bien remarqué malgré qu'il soit assit sa corpulence, taille très fine, visage fin ,je l'aurais confondu avec une fille ou peut être c'est cela , cheveux noirs* il est pas mal, je me le ferais 'bien, il doit avoir la peau très douce* qu'est-ce qu'il me prends là et de toute façon, ce genre de personne sa doit être sûrement le fils à papa, vu comment il est habillé. J'y pense peut-être une déception amoureux, où il c'est fait largué, je n'en suis plus trop sûr vu la beauté qu'il se trimbale mais je me rends compte que je suis entrain d'essayer de trouver une explication logique à ce visage dépité que je connais même pas. Mes potes me crient dessus pour me faire réagir, je me retourne vers eux et un de ces idiots me serre la tête dans le creux de son bras faisant semblant de me serrer, des jeux puéril de gamins. Une fois que mon pote à fini de faire son gros con ,il me lache , comme une pulsion mon regard se dirige vers le banc où est assis le garçon, plus personne, il est parti où je n'ai pu le voir. Peux importe, je le croiserais bien un jour. Nous voilà, dirigeant vers la sortie du parc, direction, je ne sais où même si je suis le leader ,je laisse mes potes nous entraîner là où ils veulent tant qu'ils me laisse tranquille par moment et ils le savent très bien c'est pour cela que je ne dis rien. À présent, il est dix huit heures et je rentre chez moi, ont se séparent, eux dans le sens inverse de celui que je me dirige sans rien d'autre. Arrivé une demi heure plus tard, me voilà allant directement à ma salle de bain, prend une serviette,la croche sur le porte serviette et me déshabille, entre dans ma salle d'eau, laissant l'eau me détendre. L'eau coulant du long , me fait un grand bien, soupirant d'aise , je sors , m'essuie, me met un caleçon et va directement sur mon lit ou je m'allonge, regardant le plafond. Mes pensées vont à cette simple journée, toutes les mêmes enfin presque, revoyant ce jeune garçon, mon cœur palpite pourquoi, je n'y comprends strictement rien c'est un inconnu d'une beauté incomparable à ce que j'ai pû voir jusqu'à maintenant. Une sensation bizarre me prends tout d'un coup comme un sentiment agréable envers cette âme perdu. Je m'endort finalement à cette pensée, que se soit tout simplement une chimère.

Suite prochain chapitre.

Les Regrets du Passés Où les histoires vivent. Découvrez maintenant