"Tu n est rien pour moi "
"Tu sers a rien "
"Personne voudra de toi "
"Tes moche"
"Ta vue ton poids 😂"Ses phrases étais l histoire,et les cauchemar de ma vie,personne n étais là pour moi ,je n' avais ni ami ,ni de petit amis.
Je n' avais que deux personnes qui me retenais,eux:Mes parents,seul les notes compte pour eux ,ils disent que je l es remercier plus tard ,je ne suis pas du même avis.
Je me réveille se matin,un autres cauchemars sens doute le même que les autres derniers jours, commence .
Je me dépêche de me lever et d aller m habillé, quand j entend ma mère montée les marches d escalier de notre immeuble.
Ma mère : dépêche toi t/p !
Tu va encore être en retard ,le réveil a sonné,il y a 15 minutes !Ma mère a toujours étais comme sa avec moi ,j espère juste que personne ne vois la leçon qu elle me fais en ce moment.
Après mette fais engueuler je pars .
L idée d y retourner me stresse ,je n arrive pas a la contrôler sa me stresse tellement.Je regarde mon lycée,il n y a personne dehors ,j attend dehors que la sonnerie sonne pour entrer,personne n est jamais la à cette heure.
La sonnerie sonne , je marche jusqu'à l entré du lycée.
Mon coeur loupe un battement ,quand je vois un tas de monde dans les couloirs,la sonnerie étais la pause .
Je retiens mes larmes quand je les voient arriver près de moi .
Peut-être que les éviter sera mieux, je ne réfléchis pas et je marche vers eux.
Je reprenais espoir en moi ,quand je l'ai dépassé enfin.
Quand quelques secondes, après je sens une main me tirer les cheveux et me dire:
"Tu comptes aller où comme ça"Je n'ai pas la force de répondre, je sens que mon corps tombe et qui vient quelques seconde après heurter le sol, et le regard vers nous viennent petit à petit.
J'ai souvent remarqué que les personnes ici préfèrent regarder que aider, à force les coups se font de plus en plus ,les rires se font aussi et les pleurs accompagnées de la douleur viennent.
Au fur et à mesure les coups se font à tour de rôle les coups n'arrêtent pas, à ce moment-là j'aurais préféré mourir que de me faire frapper pendant au moins une bonne vingtaine de minutes.
Des personnes autour de nous rigolent ou retiennent leurs larmes, j'ai constaté qu'à chaque fois que ça m'arrivait personne n'allait m'aider ni même aller chercher quelqu'un.
Pourquoi pleurer si tu ne veux pas ou ne peux pas m'aider..
Elles me lâchent enfin au bout de 20 minutes.
Elles commençait à partir quand une se retourna.
"Refais encore une fois ce que tu viens de faire et tu en paieras le prix"
À ce moment-là je ne voulais pas avoir peur et me dire que ça n'arrivera jamais, mais c'était plus fort que moi .
J'étais faible sans défense, sans amis.
Je n' avais personne et je l avais très bien compris.
Après ça je sors histoire de prendre l'air, avant que les cours ne commencent, dans quelques heures les Bleus auront apparu .
La journée n'a toujours pas commencé que c'était déjà un enfer.
La sonnerie ,cette maudite sonnerie vient de sonner ,signifiant le commencement des cours.