Désirs assouvis

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La grande fête de la saison approchait à grande pompe. Arthur était stressé et préoccupé par l'organisation. Sa mère essayait de le calmer le plus possible:
-mais fils vas-tu arrêter de t'en faire autant?
-les invités auront-ils assez à boire ?(s'adressant au professionnel) . Marc les rejoins dans la grande salle et se mit à taquiner Arthur :
-et si on annulait tout. Je trouve toutes ces fêtes inutiles.( dit Marc en grimaçant).
-Très drôle grand frère! Vraiment ! C'est grâce à cela que la société t'accepte facilement sache le. Blair sera-t-elle des nôtres ? Je tiens à ce qu'elle ramène Brigitte Davidson.
-oh mais toi tu es un sacré tombeur (dit marc en souriant). Non Blair ne sera pas là. Elle doit assister sa mère à Londres! Mais je suis certain que Brigitte Davidson sera compté parmi tes invités. Détends toi.
-comment ? La fête c'est dans deux jours !

Marc s'éloigna en rigolant pour agacer Arthur.
Le jour j même. C'était  le grand jour, Arthur et Berthe Solomonn courraient dans tous les sens afin de tout apprêter. Tandis que Marc bouquinait dans ses appartements. Arthur avait acheté une robetrouge à Anna pour l'occasion vu qu'il n'avait cessé de lui venter les bienfaits d'une fête et voulait qu'elle soit dans son plus beau jour.

Anna était tout simplement aveuglante vu. Une robe rouge qui dessinait parfaitement ses courbes et la jeunesse de son visage l'avantageait énormément. Ses lèvres étaient magnifiques et on ne voyait plus que ça étant donné qu'elles étaient de la même couleur que sa robe. Marc la dévisageait comme tou monde; il n'aimait pas la manière dont elle était vêtue. Il s'approchait d'elle et l'attrapa par le poignet , l'attira hors de la fête:
-qu'est-ce qu'il vous prend ? De vous vêtir de cette façon ? Êtes-vous une catin ? Une pute ? Une dévergondée ? Je pourrai vous renvoyer! Si ma mère vous avait vu vous serez à la porte ! La seule raison pour laquelle vous êtes encore là c'est grâce à votre tante!(Marc n'arrêtait pas de débiter )
-je suis désolée c'est un cadeau de votre frère. ( il lui coupa la parole en la grondant)
-fermez la ! Si jamais vous dites encore un mot je vous fais regretter !

Il la tira jusque dans sa chambre à elle. Elle retira son vêtement devant lui et ne savait pas trop quoi faire. Elle mis une robe de chambre et nettoya ses lèvres. Cette dernière action eu pour effet de briser son innocence. Marc se saisit d'elle et la secoua. Elle ne savait pas quoi dire ni faire. Elle fixa Marc et poussa ses mains hors de ses bras car elle avait mal. Marc interpréta mal ce geste et la gifla d'un trait. Il déchira sa robe de chambre. Elle était toute nue et lui avait l'air d'apprécier ce qu'il voyait. Il la tira vers lui et se rapprochait de son visage et il l'embrassa. Il mit un doigt dans son orifice de reproduction; il caressait ses tétons avec sa langue et elle se laissait faire; il inséra un deuxième doigt puis un autre et il caressait son clitoris. Il retira son pantalon lorsqu'il la senti très humide il la pénétra d'un coup sec. Il la sentait toute chaude et elle ressentait son membre viril et dur faire des mouvements; elle baissait son regard mais lui il la forçait à le regarder. Ses cris à elle étaient étouffés par le bruit de la grande fête. Elle senti tout son corps trembler et resserra ses cuisses sur lui; il lui chuchota à l'oreille :«tu la sens? Est-ce que tu ressens ça en toi?» et elle gémissait avec des spasmes. Il comprit alors qu'elle aimait ce qu'il lui faisait. Il sentait arriver ce jus blanchâtre et sorti son bout pour le laisser couler sur la cuisse de Anna.

Le matin, Anna s'était réveillée seule et déboussolée. Il y'avait encore le parfum de Marc dans sa chambre. Elle se repassait en boucle en se demandant à quel moment cela a dérapé. Elle allait tout de même se mettre au travail. Elle avait peur d'affronter son amant. Elle dû aller dans ses appartements pour ranger; ils se croisèrent et ils se regardèrent longuement. Marc avait toujours cette sensation d'indifférence. Il la traversa comme si rien ne s'était produit la veille. Comme s'il n'avait pas échangé quelque chose de grand et d'unique! Il se retourna et lui dit: «que ce soit claire il ne sait jamais rien passé et si vous avez le malheur de le répéter je m'assurerais que votre existence soit réduite à néant.» Elle était terrifiée par ses mots et se senti mal toute la journée. Elle avait offert sa fleur à la mauvaise personne.

Anna KoxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant