LE PRIX DE L'ÂME

Le guide

A l'atelier, Doula n'est pas si joyeux comme d'habitude et son patron lui demanda s'il y a un souci. Il répond négativement. Finalement son patron lui dit d'aller à la maison. Doula prit congé de son lieu de travail et la voiture des policiers arriva devant la porte de l'atelier.
Sarzan : Salut monsieur ! C'est ici que Doula travaille ??
Patron : Oui ! Je lui ai demandé de rentrer à la maison.
Sarzan : Oh merde !!
Patron : Qu'est-ce qu'il a fait ?
Sarzan : Il est parti à quel côté ?
Patron : Vers l'autobus, juste quelques minutes
Les trois hommes courent pour arrêter Doula. Au moment où ils allaient mettre un pied dans le bus, quelqu'un dit : Doula, Doula...
Loin il voit trois hommes qui courent en pleine vitesse. Il descendit pour les attendre. Une fois sur place, les deux agents se présentèrent et l'air inquiet de son patron.
Doula : Qu'est-ce qui ne va pas ?
Sarzan : On a besoin de toi et veuillez nous suivre au commissariat.
Les quatre hommes débarquèrent au commissariat et Doula pense toujours à ce qu'il a vu ce matin. Il entre dans la salle d'interrogation suivit par Sarzan.
Sarzan : Doula, fils de CF et de KT
Doula : Oui !
Sarzan : Revenons à notre sujet. Il a eu un meurtre à Gogo ; es-tu au courant ?
Doula : Oui !!
Sarzan : As-tu des informations ?
Doula : Non !
Sarzan : D'après nos dernières informations, tu t'ai levé à 4H du matin pour la lessive et d'après ta mère, tu as versé les eaux .
Doula : Oui ! Comme d'habitude
Sarzan : Il paraît que tu as changé de direction, c'est-à-dire autre fois, tu versais ces eaux de l'angle gauche mais cette fois, c'était l'autre angle. Pourquoi ce changement d'angle ?
Le jeune homme resta pensif.
Doula : Parce que c'est mon choix...
Sarzan : Doula, cet angle est loin de la maison. Dis-nous la vérité et tu ne risques rien concernant ta protection. Nous sommes là pour vous et la protection des biens de la société nuit et jour.
Doula commence à verser des fines de larmes et pensa légèrement à sa vie et le danger si il dit un seul mot. Finalement il dit : policier, tu sais que nous vivons dans une société où la violence est le mot d'ordre. Être témoin de cette scène de crime jouera certainement sur ma vie.
Au moment où j'allais verser les eaux à deux cents mètres, j'ai vu une femme poignardée une autre sous le lampadaire et directement j'ai changé de direction.
Ces mots ont été une délivrance pour le policier.
Sarzan : Est-ce que tu peux nous décrire cette personne ?
Doula : C'est une femme pas trop mince à environ 160 cm, cheveux mélangés, teint noir, ...
Sarzan : Merci beaucoup Doula ! Nous allons faire le portrait robot.
Quelques minutes plus tard, il amena le portrait robot de la femme.
Sarzan : Es-tu bien sûr que c'est elle ?
Il prend du temps tout en examinant l'image.
Doula : Oui !
Sarzan : Merci ! Vous pouvez disposez maintenant.
Doula et son patron partirent à la maison.
Au laboratoire, ils ont enfin le résultat des échantillons. C'est deux ADN différents ; le premier est pour la victime et l'autre est certainement pour le coupable. Nous allons chercher cette personne coûte que coûte.
Quand son patron le déposa à la porte de sa famille, sa mère fut la première à sortir et serra fortement son fils.
KT : Merci mon Dieu ! Mon fils est de retour sain et sauf.
CF: Bon arrivée !
Doula : Merci !
Le soir comme d'habitude après le dîner, Doula s'assied à côté de son père pour causer sur la vie. Cette nuit ne fut pas pas comme les autres car c'est Doula qui a commencé le débat.
Doula : Père, père, père, je me demande ce que la vie nous réserve quand on se bat à chaque jour pour gagner son pain.
Un silence régna...
CF: Fils, tu as l'âge de comprendre les choses maintenant. La vie est un choix. Tu es le capitaine de ton âme et le maître de ton destin. Tu peux créer le monde que tu préfères à condition que tu aies la foi.
Doula : J'ai témoigné ce matin  pour un meurtre que j'ai vu  et je sens que que c'est un règlement de compte.
CF: Tu ne peux pas servir deux maîtres comme tu ne peux pas servir Dieu et l'argent mais une chose est meilleure la justice.
Doula : Dis-moi une chose qui me servira dans toute ma vie !
CF rit et boit de l'eau qui était à son côté.
CF : Toutes ces paroles ont une place dans ta vie. Travail avec ta tête et tu calculeras tous les gens que tu rencontreras sur ta route.
Bon fils, il est tard. Je vais dormir car la journée de demain sera longue. Reste prudent et n'oublie pas mes mots.
Doula regarda longuement son père qui faisait semblant de dormir et finalement s'en va dans sa chambre.
Au réveil comme tous les autres jours, Doula salua tous les membres de la famille. Une coutume ancrée dans leurs mentalités. Quand il prit congé de la famille. Doula marche pour se rendre à son lieu de travail et tout loin devant lui, il voit la police incarcérée une dame. Les rues étaient bondées. Doula s'approcha et demanda un passant.
Monsieur : Il paraît que cette femme à des drogues et elle a refusé d'être contrôlée...
Doula avança et à la première vue, il voit le visage de la femme. Il a eu une réaction spontanée et se précipita de quitter l'endroit. Les policiers s'en vont avec la dame et la foule se dispersa comme un feu follet.