++ Hannah ne lui avait pas dit oui de suite, elle voulait y réfléchir. Elle était alors rentrer à Barcelone auprès de sa mère. Sa mère et elle avaient vendus la maison à Londres. Hannah était donc de retour à Barcelone et heureuse. Elle avait pris alors une longue semaine pour réfléchir à la demande de Raúl. Après sa demande, elle s'était confondue en excuse, et était partie. Elle ne lui avait rien dit de l'endroit où elle logeait.
++ De son côté Albiol était venu le lendemain un peu de mauvaise humeur, en colère surtout après lui. Il avait essayer de joindre Hannah toute la semaine, mais elle avait résilier son contrat. Il ne pouvait donc pas la joindre a part par l'intermédiaire d'une personne. Il composa alors le numéro du plus catalan des Gunners d'Arsenal. Le téléphone sonna deux fois avant qu'une voix encore endormi ne réponde.
- Et merde, pensa alors Raúl
++ Il n'était que six heures en Espagne, donc cinq en Angleterre..
- Allo ? répéta la voix à l'autre bout du fil.
- Cesc ?
- Lui-même.
- C'est Albiol.
- Oh Raúl, comment tu vas ?
- Bien, je suis désolé de te déranger a cette heure si matinale mais j'ai une question super importante, débita le joueur.
- Oui qu'est-ce qu'il se passe ?
- Je ... euh ... est-ce que tu aurais le numéro d' Hannah ?
- Heu non désolé, mentit le joueur.
- Bon merci, désolé de t'avoir réveiller. A plus.
++ Il raccrocha et continua à tourner en rond dans son salon, comme un lion en cage.
++ De l'autre côté de la Manche, dans un petit quartier londonien tranquille. Un jeune joueur se recoucha prit d'énormes remords, mais il avait promis à Hannah de ne rien lui dire sur sa destination, et de ne lui donnait aucun renseignements. Il avait promis. Il ne réussi pas à se rendormir. Il décida alors, de sortir un peu.
++ Hannah, quand à elle, était assis dans un parc désert de Barcelone. Perdue dans ses pensées la jeune femme ne remarqua pas la neige qui tombait autour d'elle. Lorsqu'elle se "réveilla", elle remarqua alors la fine couche de neige qui commençait à s'accumuler sur ses épaules et elle rentra enfin chez elle, les pensées accaparaient par une seule et même personne.