Chapitre 5

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Mon Maître reprend la réalisation de son œuvre, il passe ses mains sur toute ma poitrine, tressant ses cordes, non sans me peloter au passage. Chacun de mes seins est fermement ligoté, bien plus que nécessaire. J'ai l'impression qu'on les presse à leur base comme pour me traire. Si j'avais eu du lait, nul doute que mes tétons seraient en train de goutter sur le sol.

Les fibres de la corde pénètrent sur ma peau, me pincent et me brûlent. Je lutte pour ne pas me laisser aller. Je dois contenir mon plaisir et ma souffrance. 

 Mon Maître semble avoir fini sa figure. Il bouge un peu les liens, resserre les nœuds, s'assurant sans doute de la symétrie de sa création que je suppose être une forme d'étoile. D'un coup mon sein droit me fait mal. On est en train de tirer sur mon téton ! Ma peau, à sa base, frotte contre la corde à mesure que mon maître tire le bout de mon sein. 

- Hiiiii ! 

Je n'ai pas pu retenir un cri. Aussitôt, je me prends une claque magistrale qui me brûle la joue.

- On t'a dit de fermer ta gueule, me répète doucement mon Maître. 

Ce ton autoritaire soudain me calme quelque peu, mais ne fait finalement que décupler mon excitation. Je leur appartiens complètement. Je suis soumise à ces trois hommes- dont deux, dont je n'ai jamais vu le visage – et cette simple pensée pourrait bien me faire jouir. 

Mon Maître attrape mon autre sein et procède de la même manière. Cette fois, je maîtrise totalement ma réaction. J'endure la douleur qui laisse peu à peu toute sa place à mon plaisir. Passée une certaine étape dans la douleur, il redevient facile de se focaliser sur d'autres sensations, éventuellement plaisantes. Je devine la présence du photographe juste à côté de mon Maître. Il est certainement en train d'immortaliser mes seins rougis par les cordes et mes tétons étirés. 

- On pourrait lui écarter un peu les jambes A ? Demande-t-il. 

Il me délie les jambes, puis les pieds. Mon pied droit frôle à nouveau le sol tandis que mon pied gauche est tiré vers le haut ... beaucoup plus haut ! Je ne dois pas être loin du grand écart vertical. De derrière, il doit maintenant avoir une très belle vue sur toute mon anatomie. Mon string ne cache pas grand-chose et le tissu est entrain de rentrer dans ma chatte. Je suis presque sûre que mes grandes lèvres sont apparentes. 

Le photographe s'est aperçu de ce qu'est en train de faire mon Maître et se presse à son tour derrière moi pour prendre des photos de mon cul offert. 

Mon Maître passe sa main sur le côté du bout de tissu. Ecrasant mon clitoris du bout de ses doigts, massant l'entrée de mon vagin avec son pouce. 

- Et le mieux dans tout ça, c'est qu'elle n'a pas le droit de se plaindre, ricane un des inconnus. 

- Oh je te rassure, elle ne va pas se plaindre. Cette chienne est déjà en train de m'inonder la main ! Tiens, regarde, monsieur le photographe.

Il écarte mon string exhibant complètement ma chatte toute lisse. 

 - Magnifique, s'exclame ce dernier ! Elle est trempée, ça rend très bien en photo !

J'entends le déclencheur de l'appareil photo qui ne cesse de s'activer, tandis que mon Maître continue de me masser la vulve, dessinant des cercles avec son pouce, gonflant mes lèvres au maximum, ouvrant ma chatte. Je savoure en silence. 

 J'ai aussi la sensation que l'on me pince plus fortement les tétons, avant que je ne réalise qu'il s'agit de pinces ! Maintenant sensibles à l'extrême, mes seins sont de nouveau très douloureux. C'est indescriptible ce mélange d'émotions ; plaisir et douleur, humiliation et exhibition.

Pendant que ma chatte me procure une folle envie de me masturber, ma poitrine me donne envie de crier. Je dois faire un effort terrible pour remettre mes idées en place et repousser l'orgasme qui est en train de monter. Je peux sentir ma mouille couler à plusieurs endroits de mon corps.

Insolence et punition cruelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant