Chapitre 6

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Il doit être temps qu'on me libère. Je dois avouer que je commence à avoir besoin de retrouver mon équilibre. Mais je n'ai pas le temps de prononcer le moindre mot : on m'attrape brusquement par les cheveux, vers l'avant. Je crois qu'on me libère, mais il n'en est rien. On me pince le nez pour me faire ouvrir en grand ma bouche et je comprends rapidement l'intention derrière ce geste. Je sens un morceau de chair entre mes lèvres, chaud et doux. Dans un unique mouvement, ce sexe me pénètre et glisse sur ma langue jusqu'à ma gorge. L'un de mes tortionnaires à visiblement l'idée de mettre à profit ma position encore un peu plus longtemps. 

Sa bite est déjà bandée - ce qui n'a rien d'étonnant lorsqu'on s'adonne à des jeux BDSM avec une chienne comme moi – et il ne cherche pas à se faire sucer, mais bien à me baiser la bouche sans la moindre délicatesse ! 

Ma tête est secouée d'avant en arrière. Ma gorge est un masturbateur. Mon cou est désarticulé. Me voilà de nouveau utilisée comme un vulgaire jouet pour le bon plaisir d'un homme que je ne connais pas et que je ne peux pas voir. De temps en temps on me frappe les seins. J'ai envie de hurler mais le sexe qui me ramone la bouche est bien trop imposante. 

 Ma chair est si sensible et la douleur si intense que je dois me concentrer pour ne pas sombrer. J'entends à nouveau les bruits qui m'entourent : le clic-clac du photographe qui doit se régaler de ce qu'il voit, mes cheveux qui trainent sur le sol au rythme de ma tête malmenée, le zip d'une nouvelle braguette qui s'ouvre ...

Ma salive coule sur mon visage et dans mon nez. Le plaisir d'être traitée comme un objet sans valeur continue de faire mouiller ma petite chatte. Je perds la notion du temps. Je suis incapable de dire si cela fait trois minutes que je me fais défoncer la gorge, ou trente. Qu'importe, je suis bien vivante et j'aime ça. La douleur est secondaire. Mon seul et unique but est de satisfaire cet homme. Je suis sa chose, son esclave, son trou à boite, son vide-couilles. Je n'ai pas mon mot à dire et si ça avait été le cas, ce mot aurait été : "encore"! 

L'homme libère ma bouche et me repousse violement. Je tousse et je crache une grosse quantité de salive qui dégouline sur mon visage, mon front et jusque dans mes cheveux. Mon corps à peine animé, se balance au bout de ces cordes, me faisant perdre le moindre repère dans l'espace. 

Lorsqu'à nouveau, on m'attrape par le cou, stoppant le balancier. Une nouvelle bite se présente dans ma bouche restée béante, un peu plus petite mais toute aussi épaisse.

Me voilà de retour à ma place : un simple objet sexuel utilisable à volonté.J'essaie de sucer, de lécher, de jouer avec ma langue mais la rapidité des mouvements et ma faibleréactivité n'aident pas. Ils ne veulent pas de fellation, ils veulent m'utiliser. Et ils auraient tort de sepriver ! 

Un nouveau sexe fait son entrée dans le jeu. Je réalise soudain que je n'entends plus les bruits duphotographe. Ce dernier ne veut sans doute pas finir sur la touche et compte bien profiter de cetteoccasion en chair. Sa bite est de taille moyenne et il est moins virulent que ses camarades de jeu. J'aile temps de déguster son membre, de passer ma langue dessus et d'en découvrir les pourtours. Jedégouline de bave et de cyprine je me sens sale et collante. 

Il ne lui faut que quelques minutes pour éjaculer. Il ne retient pas ses râles de plaisir et me remplit lacouche de sperme épais, tapissant mon palais. 

- Avale, salope, me dit-il. 

Chacun leur tour, ils se branlent dans ma bouche et je reçois leur offrande. 

- Sacrée salope ! 

- Quelle bonne suceuse ! 

- Elle m'a bien vidé. 

Couverte de gloire et de foutre, je souris. J'ai certes un peu mal mais je suis assez fière de maperformance et j'adore être arrosée de sperme gluant.

Insolence et punition cruelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant