Chapitre 6

251 12 6
                                    

PDV Jeremiah

Tim vient de me déposer sur le lit.
J'ai mal partout, je suis détruit au niveau extérieur du corps, mais à l'intérieur mon cœur bat la chamade.

Timaël m'a embrassé et putain, c'est un mec hyper canon.
Sa voix m'a charmé direct, mais alors son visage, ses yeux et son corps, c'est un bonus.
Je suis totalement in love.
J'arrive même pas à lui en vouloir pour les coups.
Je pense que c'est parce que je le voyais pas à ce moment.

Le Timaël que j'ai vu moi de mes yeux est tendre, il a fait attention à moi.
À ne pas me faire mal plus que nécessaire.
Et putain ce qu'il embrasse bien.
C'était le meilleur baiser de ma vie.
Je ne vois pas le Chef qui m'a torturé.
Je dois avoir un problème mental non ?

Qui pardonnerait d'être torturé comme ça franchement ?

Je sais que c'était lui, c'était sa voix.
Est-ce que le fait de ne pas le voir me torturer même si je l'entendais interférer avec ma raison, la logique ou mes sentiments.
C'est le bordel dans ma tête.
Comment mettre mes idées en ordres après tout ça.
Surtout qu'il se comporte de façon adorable.

Je sais que je dois lui en vouloir.
Je le sais alors pourquoi je veux qu'il me touche,
qu'il m'embrasse encore et qu'il soit près de moi.
J'ai peut-être développé un syndrome.
Ça doit exister, non.

Timaël Rovik (Chef) : T'es bien installé ?
T'a besoin de plus d'oreillers ou de boire, de manger ?

Jeremiah Vergon : Tim ça va. Je dis pas non à un en-cas par contre.

Timaël Rovik (Chef) : ok. PAVLE !

Je sursaute, je m'attendais pas à ce qu'il crie

Jeremiah Vergon : Putain, mais ça va pas, j'ai flippé !

Il m'embrasse le front

Timaël Rovik (Chef) : Pardon Jeremiah. Je suis désolé.

Il caresse ma joue avec tendresse.

Jeremiah Vergon : Préviens juste avant. J'ai fait le bon et ça fait bien mal aux côtes.

Timaël Rovik (Chef) : j'suis désolé, putain, je fais que des conneries 😔

Il continue de me caresser tendrement et me regarde dans les yeux.

Timaël Rovik (Chef) : Je m'en veux tellement Jeremiah.
Je suis perdu totalement avec toi.
J'arrive pas à garder mon masque de Chef de Shadowskull avec toi.
T'es tellement je sais pas, t'es juste toi.
Tu m'as comme ensorcelé et je regrette de t'avoir laissé ce putain de sac sur la tête.
J'aurais jamais pu te faire ce que j'ai fait si j'avais croisé ton regard.

Un raclement de gorge le coupe dans sa déclaration.
Il tourne la tête toujours en caressent ma joue avec son pouce

Pavle (bras droit) : Tu m'as appelé Chef ?

Timaël Rovik (Chef) : Oui, euh. . . 
J'ai un trou de mémoire, je ne sais plus pourquoi. 

Attends ça va me revenir

Je chuchote

Jeremiah Vergon : C'était pas pour mon encas Tim ?

Aide moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant