Chapitre 8

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PDV Timaël

Je viens de prévenir Pavle que c'est le dernier avertissement.
Prochaine connerie, je le tabasse.

Timaël Rovik (Chef) : Carl merci

Carl Vonq : Je protège mon ami, rien de plus.

Timaël Rovik (Chef) : 🤨 Ton ami ?

Carl Vonq : Oui, chef. Depuis le 1 jour, je le sais innocent je l'ai aidé chaque fois que Pavle avais le dos tourné.

Timaël Rovik (Chef) : Tu sais que s'il avait était manipulateur, tu m'aurais trahi !

Jeremiah Vergon : Mais je ne suis pas manipulateur. Ça s'arrête là !

Carl, tu peux m'aider, mes jambes tremble et j'ai pas envie de m'effondrer au sol.

Carl Vonq : Oui attends, je t'aide.

Timaël Rovik (Chef) : Carl va faire ton boulot, je m'en occupe.

Carl Vonq : Oh, désolé Jerem. J'y vais Chef !

Carl part, je suis seul avec Tim.

Jeremiah Vergon : Pourquoi tu l'as fait partir ?

Timaël Rovik (Chef) : Calme-toi, aller viens, je t'amène à la cuisine.

Jeremiah Vergon : J'accepte juste parce que y'a personne

et que je vais pas tenir. Mais je t'en veux ! Compris.

Timaël Rovik (Chef) : Compris.

Il m'aide à aller jusqu'à la cuisine.
Il m'installe sur un tabouret de bar.

Timaël Rovik (Chef) : T'es bien ici ?

Jeremiah Vergon : Ouai.

Il cherche dans un placard.
Ouvre le frigo puis le referme.

Jeremiah Vergon : Qu'est-ce que tu fais ?

Timaël Rovik (Chef) : À manger

Jeremiah Vergon : Tim !

Timaël Rovik (Chef) : Quoi ?

Jeremiah Vergon : Tourne-toi et viens s'te plaît.

Timaël Rovik (Chef) : Non, je te fais à manger.
Ensuite, je te laisse vu que ma présence n'est pas souhaitée.

Jeremiah Vergon : 😤 Tim S'il te plait !

Il souffle fort puis fini part se retourner.
Il garde ça tête baissée.
Il avance ensuite vers moi.
Une fois devant moi, il pose sa tête dans mon cou et respire un grand coup.

Timaël Rovik (Chef) : J'en peux plus Jerem !

Je passe mes bras autour de lui.
Il finit par faire de même.

Jeremiah Vergon : Je te demande pardon.

Timaël Rovik (Chef) : moi aussi Jeremiah.

Je veux pas qu'on te touche, c'est égoïste de ma part après ce que je t'ai fait.

Jeremiah Vergon : Oui un peu égoïste quand même. 
Je ne voulais pas te blesser tout à l'heure.

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