Chapitre 4

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On était lundi et j'allais entrer dans les locaux de Towny. J'entra et vis qu'Harris m'attendais. Étais-je en retard ? Non j'avais même de l'avance.

- oh ? Je vois que vous m'avez écouté. Me souris Harris. Elle m'avait demandé de bien m'habiller donc j'ai mis mon tailleur beige pour l'occasion et je me suis même légèrement maquillée.

- évidemment... mais pourquoi ? Personne n'est vraiment bien habillé à part vous et moi. Demandais-je.

- nous avons un gala aujourd'hui et vous allez m'accompagner.. mais avant venez j'ai du travail pour vous ! Me souris sadiquement Harris. Je grimaça. Elle m'emmena donc dans son bureau assez grand et très bien décorée.

- alors- commença Harris mais quelqu'un qui frappa à la porte la coupa.

- entrez ! Ordonna Harris. Quel fut ma surprise lorsque je vis la prof d'éco. J'avoue être énervé.

- nous devons parler Kate ! Supplia la blonde.

- allez me chercher un café Mlle Davis. Me demanda Harris. Je la regarda étonné puis soupira.

- si vous me le demander. Dis-je en quittant la pièce n'oubliant pas de lancer un regard noir à la blonde.

J'alla donc chercher un café à ma professeure et je me pris une bouteille d'eau. Je me rapprocha du bureau d'Harris et pouvais clairement les entendre se disputer. J'attendis un peu contre le mur et pianota sur mon téléphone.

- tu ne peux pas m'oublier ! Pardonne moi bordel ! S'énerva la prof de droit. Les murs sont vraiment fin ici sérieux.

- fou moi la paix ! Je ne veux plus de toi ! Pleura ma professeur. C'est a ce moment là que je décida d'intervenir.
J'ouvris la porte et vis la prof de droit dos à moi. J'ouvris ma bouteille d'eau la versa sur la tête de «Sylvia».

- oups... lâchais-je avec un sourire narquois.

- t'es complètement taré espèce de salope ! M'attrapa par le colle l'avocate. Je fus forcé de lâcher le café qui tomba au sol et avec de la chance il ne me salissait pas.

- vous pouvez parler... vous avez trompé et vous vous ridiculiser pour garder une relation que vous avez brisé vous même. Alors au lieu de casser les couilles à tout le monde présent dans cette maison d'édition dégagez. Dis-je avec une froideur extrême tellement que même elle en eu des frissons. Elle me frappa puis parti sans dire un mot.

- elle est vraiment impulsive cette salope. Soupirais-je en tenant mon nez qui s'était mis à saigner. Je faisais en sorte que mon sang ne salisse pas mes vêtements ce qui était compliqué.

- oh mon dieu ! Se précipita Harris.

- enlevez moi ma veste s'il vous plaît. Demandais-je. Elle s'exécuta.

- tenez. Elle me tendit un mouchoir. Au bout d'une dizaine de minutes mon nez arrêta enfin de saigner.

- on devrait aller à l'hôpital, elle a dû vous casser le nez. S'inquiéta Harris.

- ne vous inquiétez pas, je suis sensible du nez je n'ai rien. Lui dis-je.

- je suis tellement désolé. S'excusa paniqué Harris.

- je l'ai cherché vous savez, puis ce n'est pas vous qui m'avez frappé donc vous n'avez pas à vous excusez. Dis-je.

- je vous savais pleine d'audace mais au point de renverser une bouteille d'eau sur quelqu'un comme cela ! Rigola Harris.

- elle vous a faite pleurer, c'est le minimum que je pouvais faire. Lui souris-je.

- merci.... Me remercia Harris.

Sentiments enfermés Où les histoires vivent. Découvrez maintenant