chapitre 2

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Lisez le mot de fin, il est important, merci !

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Je me réveillais avec le doux bruit de mon réveil. Eumph, je maudirait celui qui à inventer cet objet venu des enfers ! Je me lève doucement avec la boule au ventre d'aller encore une fois au collège pour me faire insulter et frapper. Je vais dans la salle à manger et m'installe à la table et met ma tête dans mes bras.

Chuuya : Pas réveillé ?

Moi : Non...

Chuuya : Je t'ai préparer des oeufs au plats.

Je levais la tête et en voyant la nourriture je mis ma main devant ma bouche et courra aux toilettes suivis par mon père. Je vomis la tartiflette d'hier, mon père me regroupant mes cheveux. Une fois fini, il m'apporta de quoi m'essuyer.

Chuuya : Ça va mieux ?

Moi : Je suis désolé...

J'étais au bord des larmes, j'en avais marre, marre de cette routine infernale et exténuante... Il me prit le menton pour me forcer à le regarder, quelques larmes coulant sur mes joues.

Chuuya : Qu'est ce qui se passe Masaki ?

Je me jetais dans ses bras et commença à sangloter en vidant mon sac.

Moi : J'en ai marre de me faire insulter papa...! J'en ai marre de me faire frapper et de dire que tout va bien...! Continuer d'arborer ce grand sourire indémodable pour vous rassurer alors que je ne vais tout sauf bien ! J'en ai marre de cette routine, de vos disputes répétés qui me font de plus en plus croire que vous allez divorcer, de cette odeur étouffante de tabac quand je rentre en classe, de cette constante impression que tout le monde me regarde et se moque de moi, et par dessus le marché, j'en ai marre de cette vie sans aucune gloire à vivre...

PDV Chuuya :

Il fallait que ça sorte... Je savais qu'un jour ou l'autre Dazzai allait déteindre sur lui, mais je ne pensais pas si tôt... Je savais que quelque chose n'allait pas, mais ceux qui l'ont poussé à être dans cet état vont prendre cher ! *Soupir* Il faut que je me calme, il faut que je le console et que je le rassure... En plus je suis tout seul, Dazzai est parti tôt ce matin, il avait une mission. Savoir que nous aussi nous l'avons fait souffrir est horrible... Ses sanglots étouffés par mon cou et sa poigne se resserant sur mon haut me brisèrent le coeur.. Je resserais un peu mon étreinte et parlais d'une voix douce.

Moi : Allez, ça va aller, je vais tout faire pour que tu ailles mieux. Déjà m'en parler est un grand pas, je suis fier de toi.. Tu n'iras pas au collège aujourd'hui, c'est la moindre des choses que je puisse faire. Ensuite, je vais appeler PapOs et on restera avec toi toute la journée, à te chouchouter, te câliner, te rassurer, te faire rire, en somme, tout faire pour que tu passes une meilleure journée que tu l'aurais cru. Ça te vas ?

Masaki : Mmh...
*Dit il entre deux sanglots*

Moi : Viens, on va aller sur le lit, tu seras mieux, je vais appeler Dazzai.

On allait vers sa chambre et je pris mon téléphone et me mit un peu en retrait pour l'appeler.

Moi : Il faut que tu viennes, tout de suite.

Dazzai : Qu'est ce qui se passe ?!

Moi : Juste viens, il à besoin de toi.

Dazzai : J'arrive.

*Bip*

Moi : Il arrive, en attendant tu veux m'expliquer un peu mieux ce qui se passe ?

Masaki : ... P-papa...

L'enfant Du Soukoku, MasakiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant