•Baji X Reader•

•Chapitre 16•

J'ai maintenant 27 ans, je viens de finir de ranger les cartons dans mon nouvel appartement avec l'aide de Taka. Il venait de repartir.
Je réfléchissais à ce que je pouvais faire, mais j'en vins à une conclusion : rien. Il était déjà tard alors je partie me couchais.

J'eu un réveil matinal, étant donné que je devais déposer mes affaires sur mon premier lieu de travail, je travaillais avec Takashi en tant qu'assistante dans son atelier. Grâce à lui, je portais chaque jour de beaux vêtements et ne manquais de rien. Il devait sûrement déjà être au nouvel atelier pour l'emménager car il a récupéré les clés ce matin. Il se trouvait à Tokyo, je n'étais donc absolument pas dépaysé, c'était juste un arrondissement où je ne m'était que peu rendu.
Une fois arrivé là-bas à l'aide d'un taxi, j'aida Takashi puis quand ce fut fini, il était environs onze heure, donc j'ai décidé de visiter les environs et de manger quelque part seul. Eh oui, seul car je suis toujours célibataire. Après Baji, plus personne n'a conquis mon cœur. Je n'ai d'ailleurs toujours pas eu une seul nouvelle de lui. Mais je n'ai jamais réussi à tourner la page. Je l'aime encore et ça m'emmerde.

Cet arrondissement était vraiment sympathique, le midi je m'arrêta dans un restaurant de ramen puis continua ma visite.
Il se faisait tard et la nuit commençait à tomber donc je décida de rentrer chez moi à pied pour la seul raison que j'adore marcher seul la nuit.
Les rues étaient bondé de monde, j'avais un peu de mal à avancer et me faisait bousculer. J'essayais d'esquiver les bousculades quand quelqu'un me heurta et me fis tomber. J'était vraiment énervé. Je releva la tête pour tenter de voir qui était à l'origine de ma chute. Je leva les yeux, mon coeur se serra, une boule s'était formé au creux de ma gorge. J'avais l'impressions que s'était keisuke, l'homme qui me tendais la main pour que je me relève lui ressembler, plus je le regardais plus je leur trouvais des points communs. Je n'avais pas l'intention de saisir sa main mais mon corps bougea seul et la prit pour m'aider à me relever. Je ne pouvais pas m'empêcher de le fixais dans les yeux, il ne détournait pas le regard et rougissait. C'est alors qu'il m'écarta de la foule, s'excusa et me demanda si j'allais bien, j'étais obnubilé par lui c'est alors que je remarque qu'il avait lâché ma main quand une femme arriva vers lui et l'embrassa, il lui rendit ce baiser mais peu importe puisque ce n'est pas lui. Si ça aurait réellement était lui, j'aurai dû le recroiser entre temps. C'est impossible que je ne les pas vu pendent des années alors qu'il était si proche de moi. Ça ne peut pas être lui.

? : C'est quiii ?

? : Ah je sais pas, je les bousculée alors je m'assurer qu'elle aille bien.

? : Maintenant que c'est fait, on peut partir Keisuke ? dit-elle en lui tirant le bras.

Mon corps s'était figé à l'entente de son prénom, c'était lui, je l'ai revu après tant d'année, je n'y croyais pas, tout les sentiments que je gardais au fond de moi on ressurgit à cette instant. Mon cœur battait de plus en plus vite, je ne voulais pas qu'il parte mais il était trop tard, il était parti avec au bras, sa nouvelle copine.
Il m'avais oublié, il avait tourné la page alors qu'il avait promis de ne pas m'oublier, il y a quelques années. Il ne m'a même pas reconnue, je n'ai pas tant changé que ça. J'aurai juste voulu qu'il m'adresse un regard comme avant, ce regard remplit d'amour, ou juste qu'il dise mon prénom. Juste pour me dire qu'il ne m'a pas oublier mais il n'a rien fait de tout ça.

Encore sous le choque, je décida de me posais sur le banc le plus proche et de réfléchir. Devrais-je le dire à Chifuyu ou à Taka ou même à tout les gars que je l'avais revu. Mais je n'avais pas envie de le faire, je voulais le garder pour moi. Il ne se rappel même plus de nous alors à quoi bon leurs dirent.

Après quelques heures, les rues étaient vides, mise à part quelques personnes qui allaient dans les supérettes. Et moi, j'étais toujours assis sur ce foutu banc avec le cœur qui n'a pas cessé de battre la chamade. Je n'arrivais même plus à me lever, peut-être en avais-je simplement pas l'envie, peut être que j'espère, au fond de moi, le croiser une nouvelle fois.