<<Ao'nung>>Cette chaleur était insoutenable, c'était le vent ambiant qui venait le cuire lentement dans la hutte de ces parents. Il voulait se réveiller et aller se baigner pour échapper à cette chaleur mais quelques chose le maintient endormi, d'une part il se disait que quelque chose de désagréable l'attendrai au réveil, ce n'était ni un danger ni une responsabilité car il avait l'habitude d'avoir un sommeil agité en pensant à ces nombreux devoir en tant que successeur qu'il devait affronter le lendemain mais cette fois, il se sentait libéré de ce poids alors ce n'était pas ça... peu importe, son subconscient lui disait de fuir la réalité en continuant à dormir. Était-ce parce qu'une étrange douleur à la poitrine l'assaille dès qu'il s'échappe du doux sommeil où il était plongé ? Peut-être. Mais il n'en était pas conscient.
Il ne savait pas qu'il était déjà midi, alors ce n'est que lorsque les rayons du soleil s'étaient infiltrés dans la hutte et s'était doucement posé sur sa queue la brûlant petit à petit qu'il décide de battre son subconscient et de le déplacer légèrement vers l'ombre mais cet action l'avait réveillé, il savait aussi que si il restait là, le soleil allait finir par l'atteindre tôt ou tard. Alors il se lève, s'étire... et souffres.
Se sentant faible et engourdi, il commençait à oublier l'utilité du sommeil avec exaspération, mais voilà qu'une douleur amer le pulvérise de l'intérieur ! Il avait suffisamment pleuré la veille, il ne voulait plus recommencer mais admet que sa souffrance était insoutenable. Il aurait aimé comprendre comment étaient-ils passer d'un si passionnant baiser à une dispute froide et violente.
Il chassa immédiatement ces pensées de sa tête, c'était trop douloureux et se re-concentre sur le présent.
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Mais ? Où sont ces parents ? Sa sœur et Keon ? La seule personne à l'avoir accueilli la veille fut Neteyam et c'est tout. Depuis il s'est rendormi et de nouveaux réveillé. Mais ils étaient tous passé où ? Il se gratte la tête d'incompréhension et remarque que ces cheveux était lâcher car ces doigts passaient entre plusieurs mèches pour atteindre un point peu douloureux et constate que le bandage qu'il portait au front avait été retiré, il tapote ensuite sa cicatrice pour se rendre compte qu'elle était maintenant fermée mais avait encore des cloques formées dessus.
C'est commun chez eux, on ne couvre plus le sang coagulé on le laisse sécher et tomber tout seul pour laisser une peau avec le moins de cicatrices possibles. Il remarque soudain qu'il y avait une assiette de fruits à ces côtés et une fleur de lyhila rosée et blanche au pistils jaune sur le bord de l'assiette. Il sourit ayant reconnu cette fleur, la signature de Tsireya, et il y avait aussi un étui avec de l'eau pure. Il s'en saisit et le boit goulûment, il avait extrêmement faim, juste après Ao'nung prît l'assiette de fruits et les fit disparaître de l'assiette.
Quand il eu finit, il décide de se lever doucement tout en essuyant un côté de sa bouche d'où s'écoulait un succulent nectar. Une main appuyer sur les parois de la hutte et l'autre s'accrochait au berceau suspendu de Keon mais il remarque assez vite que son petit frère se trouvait dedans, endormi.Ayant constaté qu'il peu se lever sans très grand mal, il lâche le berceau et s'éloigne de la parois pour observer son frère et s'assurer qu'il dort toujours. Ao'nung n'en a que faire d'un bébé, c'est bruyant, fragile et moche mais... endormi Keon lui semble être un adorable chérubin bleu et potelé, il respire lentement, les yeux fermés et la bouche semi-ouverte.
Curieux, l'aîné touche légèrement son petit ventre, caresse avec la jointure de son indexe sa joue, décoiffe sa petite crinière, pince à peine son oreille et enfin pose son doigt dans la paume de la main du petit, doucement il s'en saisit et emprisonne le doigt de son grand frère dans sa petite main boudiné. Ao'nung glousse doucement, c'est mignon quand même un bébé des fois.
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Les Aînés. {Neteyam x Aonung}
Fanfiction~*✨Ao'nung à toujours eu un petit quelque chose envers l'aîné des Sully, il ne savait pas vraiment ce que c'était et n'y prêtait pas attention jusqu'au moment où il crue le voir mourir. Ce petit quelque chose n'était peut-être pas si petit après tou...