Diese Männer!

Chapitre 9 ; Puppe pt.3

***NOTES***

Je m'excuse si les chapitres sont courts, j'espère quand même qu'ils vous plaisent.

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« Ça te dérange si je regarde ? »

Une voix profonde demande derrière nous.

Je tourne la tête pour voir Till dans l'embrasure de la porte avec une expression amusée et vigoureuse sur le visage comme si ça l'excitait de voir la femme qu'il avait déjà baisée se faire passer parmi les mecs.

"C'est à la dame de décider"

Richard s'arrêta de nouveau et demanda.

J'ai levé le pouce et hoché la tête.

"C'est un oui tu peux"

Richard a continué à me marteler brutalement.

Me saisir et me griffer, me fesser quand j'agissais impertinemment.

Presque l'opposé polaire de Till.

Là où il y avait de l'affection dans le style doux de Till, Richard était plutôt sadique / Dom.

Et ça s'est vu.

J'ai senti le poids de Richard se déplacer et ses lèvres étaient juste à côté de mon oreille.

« que penserais-tu de la participation de Till ? »

Il a chuchoté, pour que Till ne puisse pas l'entendre.

J'ai hoché la tête et levé mon pouce.

"Tu veux nous rejoindre mon grand?"

demanda Richard à Till, son rythme ralentissant un peu.

"Ça dérange pas ?"

Les pas de Till passaient sur le tapis.

"Bien sûr que non,"

répondit Richard.

Avant que je ne le sache, j'avais Till derrière moi et Richard de retour dans ma bouche, bâillon-boule enlevé, mais avertie de ne pas parler.

C'était vraiment intéressant de les avoir tous les deux ensemble.

Till était plus enjoué et aimait faire pleuvoir des baisers et des pincements sur moi.

Richard, d'un autre côté, aimait être extrêmement brutal.

Me tirant les cheveux, m'étouffant, me giflant.

Ils semblaient toujours maintenir le même niveau de soins, ce que j'ai apprécié.

Dans le passé, j'avais été traité plus comme un objet que comme un humain.

Et ça ne me dérange pas d'être traité brutalement.

Mais il y a une très grande différence entre être brutal/pervers et traiter quelqu'un sans respect.

Mais les deux hommes, aussi sauvages qu'ils me brutalisaient, n'étaient que des gentlemen.

Une chaleur montait en moi depuis longtemps et la combinaison des deux hommes était tout simplement trop.

Je levai les yeux vers Richard, suppliant.

"Qu'en penses-tu, Till. A-t-elle été une bonne fille?"

demande Richard.

"Eh bien, j'aimerais dire oui, mais elle a été impertinente. Qu'en penses-tu ?"

Je pouvais entendre l'insolence dans la voix de Till.

Ils voulaient me torturer comme ça.

"Elle a été incroyablement coquine et impertinente, donc je ne pense pas qu'elle mérite de parler",

conclut Richard.

Je lève les yeux vers lui avec désespoir, le suppliant des yeux.

« Non. Pas de bruits tant que je ne l'ai pas dit. »

Richard m'a lancé un regard qui disait que c'était définitif et pas pour le tester.

J'ai failli gémir de frustration mais je n'ai pas fait de bruit.

Au lieu de cela, j'ai continué à sucer Richard en silence et je ne l'ai pas regardé, voulant gagner ma libération.

Les mains de Till agrippèrent mes hanches avant de descendre entre mes jambes.

Il a commencé à frotter mon clitoris dans une tentative de me trahir.

Mais on m'avait dit de ne pas le faire.

Je fermai les yeux, essayant de brouiller la sensation.

Je n'en pouvais plus.

À ce moment-là, Richard prononce les mots magiques.

Et je dégringole avec bonheur.

Donc, pour ceux d'entre vous qui ne le savent pas, les Doms et les sadiques exécutent généralement quelque chose appelé "Aftercare" sur leurs soumis ou masochistes.

Pour chaque soumis et masochiste, c'est différent.

Mais je n'allais certainement pas dire non aux câlins, aux crèmes rafraîchissantes et aux massages.

J'avais un grand homme magnifique à câliner pendant que le sadique hardcore frottait de la crème rafraîchissante dans mes fesses avant de ramper de l'autre côté de moi, me transformant en viande dans un sandwich sexe sur jambes.

En tout cas, je ne me plaignais pas.

Deux hommes magnifiques me comblant de bisous et de câlins, que demander de plus ?