Diese Männer!

Chapitre 13 ; Ein Lied.

Je me réveille dans mon lit à la lumière du matin en essayant de pénétrer dans ma chambre.

Je regarde mon horloge et réalise que c'est en fait le soleil de l'après-midi qui essaie de gâcher le moment.

Je regarde la divinité qui dormait à côté de moi dans mon lit.

Un peu de lumière illumina son visage endormi et juste...

wow.

Il n'y avait pas de mots pour décrire à quel point il était magnifique.

La bonne quantité de lumière et d'ombre semblait ciseler sa mâchoire,

ses épaules et sa poitrine à la perfection.

Je me retourne lentement pour sortir du lit à contrecœur.

Je ne voulais pas vraiment sortir du lit mais j'ai pensé qu'il préférerait ne pas être réveillé vu l'état dans lequel il était fatigué, étant donné nos activités intenses la nuit dernière.

Ou plus tôt ce matin.

Je suis sortie dans la cuisine pour faire bouillir la bouilloire et trouver une cigarette.

J'ai réussi à trouver un mégot à moitié vide et à l'allumer un pendant que mon téléphone vibrait.

"Envoie-moi un message quand tu es libre"

Je souris à moitié et expire la fumée.

Une étrange sensation de flottement parcourut mon corps, un peu comme des papillons dans mon estomac, mais plus comme une ruée d'éléphant vers le bas.

Non pas là, mais à proximité.

Qu'est-ce que je ressentais ?

Je me demandais.

Je n'avais même pas remarqué que j'avais commencé à taper une réponse jusqu'à ce qu'il soit temps d'appuyer sur envoyer.

J'ai fait une pause.

J'avais un homme très séduisant dans mon lit et j'envoyais un message à un autre gars.

Je veux dire, Till a dit qu'il y avait quelque chose de grand en notre avenir ensemble et je lui ai dit que le sentiment était réciproque.

Nous apprécions la compagnie de l'autre et nous nous soucions l'un de l'autre, mais non seulement c'était extrêmement nouveau, mais je savais qu'il avait une réputation.

Dieu sait que moi aussi.

Et autant je me sentais un peu coupable avec mon pouce au-dessus du bouton "envoyer", autant j'avais une cinquantaine doutes à ce sujet.

Dois-je ou ne dois-je pas attiser le feu ?

Je me demandais.