Chapitre 3 : 8 tâches de sang

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Après avoir passé plus de deux jours, à chercher un potentiel coupable à l'assassinat de Romane, j'abandonnai. Je ne trouvais rien. J'étais perdu ! Elle me manquait ! Qu'avais-je fait de mal ? Peut être que je ne cherchais pas au bon endroit ?

– Raah ! hurlai-je.

– Qu'y a-t-il ? me demanda une servante.

– Rien ! Je suis désolé de vous avoir fait peur…

– Ne vous inquiétez pas cela arrive à tous le monde. Puis-je me permettre une petite indiscrétion ?

– Oui, que voulez-vous ?

– Je me demandai ce que vous cherchiez ? Cela fait plus de deux jours que vous n'avez pas bougé de votre bureau. Vous savez que cela inquiète beaucoup de servantes.

– Je cherche un potentiel coupable à la mort de Ro…

Son nom n'arrivait pas à franchir le seuil de ma bouche. Je n'arrivai pas à l'oublier. Même si on ne s'était connu moins d'un an, j'avais l'impression de la connaître depuis toujours. Je ravalai mes larmes.

– Oh ! Pardon, je suis désolé… dit la servant un peu gênée.

– Ce n'est rien ! Merci ! Cela fait du bien parfois !

– Je suis sincèrement désolé ! Je vous pris de m'excuser, je ne ferai plus ce genre d'imprudence à l'avenir.

– Non, je vous remercie ! Vous n'avez rien à vous reprocher. Comment vous appelez-vous ?

– Je m'appelle Paula.

– Je vous remercie Paula. J'aimerai que nous nous voyons plus souvent. Je souhaiterais que vous soyez ma servante.

– J'en suis très flatté. Souhaitez-vous que je fasse des recherches pour vois ?

– Pourriez-vous interroger vis collègue pour moi d'une potentiel personne qui se serait invité toute seule ou quelqu'un de suspect ?

– Oui, bien sûr !

Elle récupéra un drap qu'elle avait fait tombé et sortit de la pièce.

Paula avait les cheveux bruns, tiraient en énorme chignon, elle avait de magnifique yeux vert, elle était de petite taille et était un peu ronde. Elle portait une robe blanche, taché par endroit.

Je souris, songeant au bonheur que m'avait procuré cette discussion. Sans le savoir, je venais de me faire une nouvelle amie.

Paula ne revint pas le lendemain, ni le surlendemain. Une autre servante du se charger de m'apporter une lettre urgente. Je l'ouvris et lus :

Je souris, Paula serait désormais ma servante

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Je souris, Paula serait désormais ma servante. Je remerciai sa collègue et refermai ma porte.

J'enlevai mes vêtements et m'allongeai dans mon lit.

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