𝒔𝒖𝒎𝒎𝒆𝒓 𝒍𝒐𝒗𝒆

11.☾

Le sommeil. La migraine et l'après soirée.

      LE LENDEMAIN, je me réveillais avec un énorme mal de tête, ce qui me clouait au lit. Ana n'était pas dans son lit. Elle était peut-être sortie, et je me demande d'ailleurs comme elle fait pour aussi bien tenir à l'alcool.

Je me tourne et me retourne, mais mon lit en repensant à hier, moi et Mount, dans la mer s'embrassant. Cette pensée me fait sourire. Mes hanches contre lui, sa main sur moi... Ah, c'était bien.

— Qu'est-ce que tu as à te toucher les lèvres comme ça ?

Je me relève en panique.

— Mount ?! Mais qu'est-ce que tu fais ici ?

— Je suis passé pour une visite de courtoisie, dit-il son sourire dragueur aux lèvres.

— Ahah, très drôle. Note bien l'ironie.

— Non, pour de vrai, je suis venue te chercher, il est 2 pm, 14 h 00 si tu préfères.

Quoi déjà ?!

— Déjà ?!

— Ouais, allez lève toi va te laver et prépare toi, on sort.

— Pour aller où ?

— Comme tu veux.

Je me lève et tiens ma tête comme si je pouvais retenir mon mal de tête. Je me dirige vers la salle de bain.

— D'ailleurs, tu peux me dire pourquoi ta mère ma accueillis en me disant " l'amoureux de Blair"

Le rouge me monte aux joues. Ma mère ne sais pas tenir sa langue !

— Euh, bah, tu sais quoi, la euh... La vieillesse !

Je ferme directement la porte de la salle de bain.

~♡~

Quand je sors, Mount me regarde assis sur mon lit.

— T'es super belle.

Ok donc je suis habillé avec un simple short, un crop top et un gilet gris, mes cheveux sont à peine brosser et il me trouve super belle ? Eh bien, il faut lui acheter des lunettes.

— T'es sincère ou tu te fous de ma gueule ?

— Non vraiment, je suis sincère.

Bon ok. Je m'installe à côté de lui et je sors mon lisseur et mon maquillage.

— Je peux te lisser les cheveux ? me demande-t-il pendant que j'allume le lisseur.

— Du moment que tu ne me brûles pas les cheveux oui.

Il s'empara du lisseur et me lissa les cheveux. C'était tellement agréable. Tandis qu'il me lissait les cheveux, je me maquillais.

— Ton accent vient d'où ? je demande.

— Je suis anglais. T'es vraiment trop habitué à tes Américains chéris toi. ris t-il.

Je rigole, mais ne réponds rien. Quand j'eus fini mon maquillage et lui de me lisser les cheveux, on sortit de la chambre.

— Attends ! Mon téléphone ! Ma brume et mon gloss ! dis je en repartant dans la chambre.