À L'apogée Du Bonheur (Tome 2)

Chapitre 16

" Ma très chère, mon adorable Niji,

Il y a tant de choses que je voudrais pouvoir te dire, si bien que cette feuille n'y suffirait pas. Je vois depuis le ciel que tu as réussi ta vie. Je suis si heureuse pour toi. Je suis heureuse aussi de voir que Shota a tenu sa promesse, celle de toujours rester à tes côtés. Vous formez un couple magnifique, personne n'a le droit de dire le contraire. J'espère qu'aucun malheur ne se mettra à nouveau sur votre route, car même les héros ont le droit d'être heureux.

La naissance d'Ibiki me comble de joie, je suis grand-mère ! J'aurais aimé pouvoir te prendre dans mes bras, et te féliciter comme n'importe quelle mère, mais je me contenterais de le faire par écrit, j'espère que tu ne m'en veux pas.

Mais dis-moi, ce n'est pas trop difficile d'être maman ? Est-ce que tu as au moins quelqu'un sur qui t'appuyer pour t'aider en plus de Shota ? J'ai vu qu'un garçon aux cheveux violets venait souvent chez vous, il m'a l'air très gentil. J'ai vu aussi que tu avais fait beaucoup de nouvelles rencontres, tu as beaucoup de chance.

Dis bien à Shota que je le remercie de tout mon cœur d'être là pour toi, et de t'aimer autant que tu le mérites. C'est quelqu'un de bien, je suis sûre qu'il est un fiancé et un père très aimant. Je suis si fière de toi, de la vie que tu mènes désormais, mais je suis aussi très triste de ne pas pouvoir être à tes côtés. Je veillerais toujours sur toi, ma tendre Niji, depuis le ciel.

Tu n'oublieras pas de parler de moi à mon petit-fils, n'est-ce pas ? De lui dire que je veille aussi sur lui et sur son père. Je serais l'ange gardien de la famille Aizawa.

Pour ma part, jamais je n'arrêterais de penser à toi, je n'oublierais jamais ma fille qui est devenue si grande sans même que je m'en aperçoive.

Ta mère qui t'aime. "

Si tu as peur,

Si tu as mal à ton coeur,

Si pleurer te soulage,

Alors pleure,

Et exprime ta douleur

Laisse couler une larme

Et apaise ton âme

Laisse sortir tes sentiments

Et exprime ce que tu ressens.

Inconnu.

Parfois, nos yeux doivent être lavés avec nos larmes, afin que nous puissions voir la vie avec une vision plus claire à nouveau.

Alex Tan.

Tu n'es plus là où tu étais, mais tu es partout où je suis.

Victor Hugo.

Le souvenir, c'est la présence invisible.

Victor Hugo.

La vie est comme un arc-en-ciel : il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleur.

Arunachala Ramaiya.

Voilà voilà... C'est la fin de cette histoire, je suis à la fois très heureuse, et j'ai un peu les boules, parce que c'est de loin celle avec laquelle j'ai pris le plus de plaisir à écrire jusqu'ici, je trouve que pour le coup, j'ai été vraiment très inspirée du début à la fin. Merci à toi d'avoir lu jusqu'au bout, n'hésite pas à me dire si ça t'a plus, et ce qui t'a moins plus s'il y a quelque chose. La prochaine fic sera sur Giyu Tomioka, et après sur Yuji Itadori !

N'hésitez pas à visiter mon compte, si comme moi vous avez du mal à trouver des pépites, j'ai créé une liste de lecture. Ou si vous en avez à me conseiller je suis preneur (en mp s'il vous plaît). Et puis, venez lire mes autres histoire : )

A bientôt.

Nounouch.