Chapitre 2

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Je finis par rejoindre Marie au restaurant pour le café.
Elle avait raison sortir me fais du bien l'air frais du matin est très plaisant.
Mes pensées replongent dans la conversation que j'ai eue avec mon père ce matin.
Pourquoi voudrait-il que je trouve un homme, je fu sortie de mes pensées par vous l'aurez deviné votre chère Marie.

- Oh, je te parle depuis un bon moment à quoi tu penses ?

-J'ai vu mon père ce matin, il m'a demandé de trouver un homme.
Il m'a même proposé de le faire à ma place ,tu peux croire cela ?

- whaou il doit être super déterminé.

- Je n'ai besoin de personne.
Je veux juste être avec lui ,jusqu'au dernier moment, c'est la seule chose importante pour moi.

-Tu es belle Anna, tu ne t'imagines pas à quel point.
Tu pourrais avoir n'importe quel homme à tes pieds.
Et ton père a raison Anna, tu ne devrais pas rester seule au moins fais toi des amies.

- Vous me fatiguez.
J'ai juste besoins de mon père d'accord ?

- hum ok si tu veux, je n'insisterais pas plus enfin pour l'instant (rire)
Elle est désespérante, mais elle m'apporte le réconfort dont j'ai besoin.

Enfin à la maison.
J'ai eu une journée épuisante, ce qui avait commencé comme un simple restaurant pour le petit-déjeuner, c'est terminer en une journée dans le centre commercial.
Marie a réussi à me faire visiter chaque magasin uniquement pour voir les nouveaux articles en stock.
Je le répéterai sans cesse, cette fille est désespérante.
Une voiture est garée dans le garage, je ne l'avais jamais vue auparavant, mon père doit avoir de la visite.
Il y a un homme assis dans le salon, il paraît nerveux et stressé, je me demande bien ce qui l'angoisse.
Je vais le voir.

- bonsoir, vous allez bien ?

- Pourquoi je n'irai pas bien ?

Il a un regard si méchant pourquoi est ce qu'il réagit comme ça.

- Désolé, je vous ai vu un peu mal à l'aise, vous sembliez sur le point de faire une crise d'angoisse alors j'ai voulu voir si tout allait bien.

-Tu devrais la fermer, je me sentirais encore mieux si tu fermais cette jolie petite bouche.

C'est quoi ces manières ?

- vous n'avez pas le droit de me parler ainsi, j'ai juste voulu vous aidez pas besoins de s'énerver.
Et je ne vous connais pas pourquoi vous me tutoyer ?

Je sentis un éclair de colère passer dans ses yeux, il avait complètement changé comme si j'étais en face d'une autre personne.
Et il s'approchait dangereusement de moi, on aurait dit qu'il était prêt à m'étrangler.
J'ai peur, je devrais parce que je viens d'être à sa merci bloquée contre le mur.

- Qu'est-ce que vous faites ??

Cette voix l'éloigna de moi, sauvée par le gong si je peux le dire.
Je regarde en direction de la voix et remarque un homme, il doit avoir presque le même âge que mon père.
Je le reconnais en regardant de plus près, c'est l'associé de mon père, je l'avais vue une à deux fois l'or des galas organisé par mon père.
C'était quoi son nom déjà, j'arrive pas à m'en souvenir ça devrait être Henri Macfild ou Henri Macburry l'un des deux peut-être.
- Anna ma fille, je vois que tu as rencontré mon fils.

Son fils ? Ah l'homme brut. Je reste sans réponse.

-Il s'appelle Chris, Chris Macfild et elle, c'est Anna la fille de mon associé dont je t'avais parlé.

Dont il en avait parlé pourquoi est ce qu'ils parlent de moi déjà?
bizarre

- Bien, tu as salué ton ami, on s'est présenté, c'est bon, on peut partir maintenant ?

Je crois que je vais continuer à l'appeler l'homme brut. Il semble énervé d'être ici et bien moi aussi, j'ai envie qu'il parte.

- Monsieur Macfild, je suis ravie de vous revoir, cela faisait un moment que l'on ne s'était pas vue. Je crois que votre visite à du faire plaisir à mon père, vous sembliez si complice.

- Elle est adorable, tu vois fiston prends en un exemple .(l'homme brute me regarde méchamment je crois qu'il a envie de m'arracher la tête)
Ton père était heureux de me voir, je lui disais tout le temps que je suis son oxygène je crois qu'il vient enfin de comprendre (rires) il ne peut pas se passer de moi.

-Je l'ai remarqué(rires )vous rester dîner ?

- Non pas besoins de te fatiguer mon enfant, nous étions sur le point de rentrer.

-oh d'accord merci d'être venue passer le bonjour à madame Macfild de ma part.

-Je n'y manquerais pas. À bientôt, Chris dit au revoir.

- pas la peine papa, tu le lui as déjà dit, c'est suffisant.

Encore l'homme brut, il est super sympathique, vous ne trouvez pas ?
Je les raccompagne à la porte et une fois qu'ils sont partis, je monte voir mon père.
Heureusement qu'il y a des servantes pour la maison, sinon je ne saurai pas où mettre la tête .

Jusqu'à la dernière goutte Où les histoires vivent. Découvrez maintenant