Liars and secret

06. Nul autre que nous

Helios

Je ne sais pas ce qui m'effrayais le plus, le fait qu'un cadavre gisait devant mes yeux, où le fait que mes doigts n'enlacer plus ceux de Browns.

Les douzes heures s'étaient écoulés. Le première tintement de cloche avait sonné notre heure maudite. Le deuxième nous avait apeurés, et enfin. Le troisième nous avait fait prendre conscience de ce qui nous entouraient. Un cadavre.

- « Vite vite vite.. » Commença Alyce, comme si elle venait de prendre conscience. « Il faut qu'on s'en aille, si par malheureuse quelqu'un nous retrouve ici nous aurions de grave ennuis. »

Je tourna mon visage vers celui de Browns. C'est vrai, même si c'est les douzes heures étaient passés, je ne pu m'empêcher de regarder sa réaction.

Ses sourcils étaient froncés suite au paroles de sa meilleure amie, ses yeux bleu claire eux, étaient toujours posés sur ce cadavre. Cela me donnait la chair de poule.

- « Attends.. » Prononça Browns en s'approchant en peu plus du cadavre. « C'est bizzare.. Il a un gros trait rouges sur le cou. Et nous, on a entendu un coup de feu.. » Elle pivota sa tête vers nous.

- « J'en sais rien Evelyn.. Peut être que le tueur a essayé de l'étrangler avant de le tuer.. Je sais pas si je suis pas criminologue ! » Lui répondit sa copine.

- « Ou peut être qu'il a essayé de le tuer par arme blanche.. Mais qu'il nous a entendu.. »

✧✧✧✧

La phrase qu'avait prononcer Browns tournait dans ma tête. Elle m'en avait dit des choses, des choses aussi stupides les unes que les autres ; mais ce qu'elle avait dit, il y a quelques heures, était loin d'être stupide.

«

Je suivais Alyce, qui celle-ci tenait la main de Browns en l'emmenant loin de ce foutu lac.

Nous nous retrouvions devant l'endroit où nous étions quelques minutes plus tôt : la balançoire.

- « On vient d'assister à un meurtre. »

C'est l'une des premières phrases que je venais de prononcer après avoir vu ce cadavre. Et j'en prononcerai pas d'autres d'ici tôt.

- « Oui.. Mais ne le dites a personnes. Jurez moi que nul autre que nous, seront au courant de ce que l'on vient de vivre. »

Non. On ne peux faire ça. Au contraire ; nous devions le dire aux sécurités, a n'importe qui.

Je lança un misérable regard a Browns, cependant ; ce n'est pas moi qu'elle regardait. Son attention était apportée sur la lune qui était entrain de se coucher.

Alyce me lança un regard désespérer par notre silence, qui parlait pour nous.

- « S'il vous plaît.. Jurez le moi. »

Du coin de l'œil, je vis Browns, qui allait lui répondre. Mais elle se contenta de pincer ses lèvres entre elle et de lui répondre.

- « Bien, je le jure. »

Alyce tourna son attention vers moi.

Désemparé, et a bout de force ; je lui répondis contre mon gré.

- « Je le jure. »

Nul autre que nous.
»

Si je continuais ainsi, mes pensées allait prendre raison de moi.

Je pris un bain et enfila par la suite une simple chemise blanche sans prendre la peine de boutonner les boutons du haut. Laissant le début de mon torse visible.

Je descendis les escaliers à fin d'accéder à mon séjour ; mais a mon plus grand étonnement.

C'est dans les yeux de Browns, que je tombèrent.

Browns qui portait une simple robe blanche et qui avait tresser ses cheveux. Elle était aux côtés de ses deux parents, qui eux, s'adressaaient a mon père.

- « Que font-ils là ? » Je demandai à une servante qui passait devant moi, mes yeux étant toujours posés sur ceux de Browns.

- « C'est officiel, Monsieur Browns et Monsieur Davies viennent de signer leur contrat collaboration ! Toutes la ville s'impatiente déjà de goûter au vin de Monsieur Browns, produit par vos vignes. »

Elle s'en alla directement après son monologue. Tandis que mes pupilles étaient accrochés a celle de Browns.

Rien ni personne ne comptaient autour de nous ; hormis le secret qui nous liaient à présent. Lui seul planait autour de nous.

Je savais que beaucoup de choses pouvaient se passer en douzes heures, mais jamais je n'aurais imaginer qu'elle se passerait ainsi.

Oh, Browns. Cela me tue de devoir dire ça, mais j'aurai cruellement besoin de douzes heures de plus. Pour pouvoir te confier pleins d'autres secret qu'en temps normal, je ne peux te dire.