Impossible lovely with my gumiho

- 1 -

Je me lève péniblement pour aller à l'université. J'y étais depuis quelques mois ayant fais ma rentrée en septembre mais rien ne se passe comme je l'aurai souhaité.

Étant née en fin d'année, j'ai obtenu mon baccalauréat et quitté le lycée à tout juste 17 ans. Je suis donc arrivée à l'université au même âge et je me sens clairement pas à ma place ce qui complique la relation avec les autres étudiants. Cela fait maintenant 8 mois que j'y suis et je n'ai pas vraiment d'amis, 2 ou 3, par-ci par-là.

Je me prépare donc puis je descends à la cuisine pour prendre mon petit déjeuner, mes parents étaient déjà partis au travail. Une fois que j'ai terminé de manger, je prends mon sac de cours et pars à l'arrêt de bus. J'avais environ 30-40 minutes de trajet.

En sortant de chez moi, je vis cette Mercedes noire qui, depuis plusieurs mois déjà, ne fait que de me suivre. L'homme qui l'a conduit se nomme Lee Rang, un homme très connus des forces de l'ordre. Il m'a ordonné de le rejoindre pour je ne sais quelle raison et j'ai d'ailleurs jusqu'au mois prochain pour me décider.

Je fais abstraction de sa présence, je m'y étais habituée à vrai dire, et je poursuis mon chemin jusqu'à mon arrêt. Arrivée à celui-ci j'attends patiemment mon bus. La Mercedes m'avait bien évidemment suivit. Je fronce un peu les sourcils et me lève pour aller en sa direction. Une fois à côté de la porte passager, je toque à la vitre teintée pour qu'il l'a descende ce qu'il fait assez rapidement.

Une fois celle-ci baissée, je me penche pour le voir et manque de louper ma respiration. J'oubliais à chaque fois a quel point il était magnifiquement beau, presque irrésistible.

Lee Rang : Qu'est-ce que tu veux ?

Moi : C'est plutôt à moi de dire ça mais puisque tu me suis jour et nuit, pourquoi ne me déposes-tu pas à l'université ?

Lee Rang : Je suis qui pour que tu me tutoies ? Ton copain ? Si tu ne veux pas être punis, je te conseille de me vouvoyer de suite. Et je ne suis pas un baby-sitter. Tu peux y aller en bus.

Moi : Si vous n'êtes pas mon baby-sitter dans ce cas arrêtez de me suivre.

Je me redresse donnant un coup de pieds dans la portière passagère. Je savais comment le provoquer, je savais aussi que je risquai d'être punie mais parfois j'en jouais aimant ses punitions qui n'étaient pas violente ou brutale, ce n'était pas ce genre de punition là.

Je fais donc genre de partir en me retournant et en partant vers mon arrêt de bus quand j'entends une portière se fermer. Il me rattrape sans grande difficultée et me prends par le poignet me mettant de force du côté passager de sa voiture. Il retourne dans celle-ci après.