JE TE DÉTESTE ! [Soukoku]

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«Ah, enfin, c'est pas trop tôt !
—Ne crois pas que ce sera aussi facile que ça, Dazaï.»

Mais le brun ne l'écoutait plus, les yeux rivés sur sa caméra.

«Tu l'as reprogrammée ? Écoute-moi bon sang !»

Rien.

«Peu importe.»

L'image coupa net et Dazaï se retourna, dépité.

«Ne t'en fais pas, je vais m'occuper d'eux.»

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«Monsieur Akutagawa, si vous voulez mon avis nous ferions bien de...»

Un bruit sourd l'arrêta.

«Ou nous pouvons détruire la porte d'entrée, évidemment...
—Tu viens, oui ou non ?
—J'arrive...»

Ils pénètrent dans le bâtiment, et après y avoir progressé quelques minutes se retrouvèrent face au célèbre Fyodor Dostoïevsky.

Le combat s'engagea.

Malheureusement, vu la nature du pouvoir de Fyodor et en le voyant en action, le duo comprit rapidement qu'ils ne pouvaient espérer gagner en l'état où en étaient les choses.

C'est alors qu'Atsushi tourna la tête vers Akutagawa et lui adressa un signe de tête que son congénère lui rendit. Ils avaient la même idée.

Akutagawa souleva Atsushi avec Rashomon avant de l'envoyer sur le mur. Celui-ci explosa et tomba sur Fyodor qui esquiva avec son agilité déconcertante habituelle.

«Mais qu'est-ce que...?»

La tête abasourdie du tigre-garou mettait bien en évidence une chose : ils n'avaient pas eu le même plan en tête visiblement. Mais, peu importait, car à présent Atsushi comprit le plan du bicolore : il était à présent à l'intérieur de la bâtisse.

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«Y a quelqu'un ? Si seulement la limace était là...»

A cette idée son coeur se serra.

«Mais pensons à quelque chose de plus joyeux ! Un suicide à deux...»

Et son sourire revint.

«Monsieur Dazaï !
—Oui ?»

Il défonça le plafond, avant de lui tendre une main.

«Nous devons partir au plus vite.»

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«Tu ne te crois plus aussi malin, hein ! Rashomon, c'est bien cela ? Un pouvoir intéressant, si tenté qu'il soit entre des mains capables...»

Fyodor se rapprochait beaucoup trop rapidement d'Akutagawa qui était paralysé par la douleur.

«Tigre-garou...»

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