Traduction FR, l'histoire appartient à FATALIST_WRITER sur Wattpad.
Histoire dans laquelle Y/N L/N, une femme ordinaire d'une vingtaine d'années, est témoin de l'enlèvement et de la torture d'une prostituée en fuite du gang Tenjiku.
Elle attire l'a...
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Assise à la fenêtre de ta chambre, tu regardais le magnifique coucher de soleil qui se reflétait dans tes yeux, ce qui te fait soupirer alors que tes pensées reviennent à la scène où Izana embrassait cette fille, créant une douleur dans ton cœur.
Tes yeux commencent à brûler à cause des larmes et de la fièvre que tu as.
« Atchouum. » Tu éternues tandis que tes larmes roulent sur tes joues chaudes, tu attrapes ton mouchoir pour te nettoyer le nez en soupirant lourdement.
« Chérie ? Tu vas bien ? » Ta mère a frappé à ta porte et l'a ouverte en te souriant gentiment.
« Je vais bien maman, c'est juste que la fièvre ne veut pas me quitter... hehe... » Tu essayes de sourire et de retenir tes larmes, tu ne veux pas dire à ta mère que tu es tombée malade à cause d'un garçon qui ne reconnaît même pas ta présence.
Ta mère a pris le thermomètre et l'a mis dans ta bouche en attendant les résultats.
« Chérie, ça fait une semaine que tu es malade, ta fièvre monte et descend, et le médecin a dit que tu étais très stressée. » Elle te tapote doucement la tête avant de te faire un sourire. « Quelque chose te tracasse ? Tu sais que tu peux me parler. »
Tu lui as souri en sortant le thermomètre, tu as soupiré en le voyant à 40°C.
« C'est peut-être les études maman... L'école c'est dur parfois... mais je vais m'améliorer donc pas d'inquiétude... » Tu as partiellement menti, tu n'étais pas stressée par l'école puisque tu étais au top. La vraie raison pour laquelle tu n'allais pas bien était Izana, un nom qui était gravé dans ton âme, ton premier crush et ton premier chagrin d'amour.
Tu pensais que rester à la maison te ferait l'oublier, mais tu te trompais, il te manquait au plus haut point. Tu ferais n'importe quoi pour être accueillie par son regard froid, même s'il t'ignorait. S'asseoir à ses côtés et respirer le même air que lui signifiait beaucoup pour toi.
Ta mère savait que quelque chose d'autre te tracassait, elle était jeune autrefois, elle aussi. Elle t'a serré fort dans ses bras et t'a chuchoté « Chérie, la vie peut être belle et laide... mais quand des choses te dérangent et que tu ne peux pas en parler, écris-les... crois-moi mon amour, une fois que tu les auras écrites, tu seras plus à l'aise... »
« J'ai compris maman, je vais écrire tous mes soucis et je me sentirai mieux... » tu as levé le pouce alors qu'elle quittait la chambre.
Tu as fermé les rideaux et tu t'es allongée sur ton lit.
« C'est trop... Je ne peux pas l'oublier ni combattre cette peine... ça fait mal... beaucoup trop... » Tu marmonnes alors que ces larmes enfouies se remplissent et brouillent ta vision. Une boule s'est formée dans ta gorge et tu as serré ton oreiller contre toi.