Traduction FR, l'histoire appartient à FATALIST_WRITER sur Wattpad.
Histoire dans laquelle Y/N L/N, une femme ordinaire d'une vingtaine d'années, est témoin de l'enlèvement et de la torture d'une prostituée en fuite du gang Tenjiku.
Elle attire l'a...
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Il t'a fallu deux jours entiers pour te remettre de toutes les douleurs corporelles grâce aux analgésiques et aux traitements, mais ce dont tu étais le plus heureuse, c'est qu'au moins il n'y avait pas la moindre cicatrice. Il y avait bien des bleus causés par le fouet, mais ils s'estompaient peu à peu.
« Y/N, viens ici. » ordonna Izana dès qu'il entra dans la pièce et rangea les sacs qu'il portait pendant que tu sortais des toilettes, vêtue d'un peignoir en velours, tu baissas rapidement le regard avant de t'approcher de lui.
Tu attendais qu'il te parle, mais il n'a rien dit et ses doigts ont défait le nœud du peignoir, révélant ton corps nu. Ton cœur bat à tout rompre à l'idée qu'il veuille te prendre tout de suite et que tu ne puisses pas refuser malgré la douleur. Tu as fermé les yeux et tu as tressailli en sentant ses mains chaudes caresser ta chair nue.
Il n'était pas excité par cette vue, il était plutôt en colère... contre lui-même pour t'avoir fait du mal, il touchait ces marques qu'il avait mises sur toi, les caressant délicatement, ce qui te faisait frissonner. Ses yeux lilas fixaient tes expressions faciales avant qu'il ne saisisse ton menton et ne relève doucement ton visage timide, te faisant lentement ouvrir les yeux.
Son expression était extrêmement douce, quelque chose qu'il pensait lui-même ne jamais posséder. Tu pouvais sentir son souffle chaud effleurer tes lèvres alors qu'il penchait son visage plus près de toi avant de marmonner
« Je suis... désolé... Y/N... » ses yeux étaient pleins d'excuses, son visage complètement défait, il était plein d'émotions tristes. Tu ne savais pas quoi répondre, tu es restée debout et tu l'as regardé, tes yeux (c/y) ne quittant pas ses yeux orchidées. Ses mains se posèrent doucement sur tes épaules avant de te serrer dans ses bras, une étreinte protectrice. Tu étais trop précieuse pour lui.
« Il y a quelque chose que tu devrais savoir... Y/N... » chuchota-t-il sans rompre l'étreinte, mais tu ne lui rendis pas son étreinte, tes mains étaient de part et d'autre, le peignoir posé sur le sol.
« Quelque chose ? » Tu demandas doucement avec un soupçon de peur avant qu'il ne rompe l'étreinte et que sa main ne caresse ta joue, te faisant tressaillir à nouveau. Il fronça les sourcils en voyant que tu tressaillais à chacun de ses contacts.
Oui, il voulait que tu aies peur de lui pour que tu ne puisses jamais le quitter, mais il n'avait jamais imaginé qu'il te ferait tressaillir. Il serra le poing et parla sévèrement.
« On sort ce soir, je t'ai acheté de nouveaux vêtements, choisis celui qui te plaît et descends dès que tu as fini... »
Il tourne les talons et quitte la pièce, te laissant stupéfaite et nue.
« C'est quoi son problème ? Comment il peut être à la fois doux et brutal ? Je n'arrive pas à le comprendre. » soupires-tu en marmonnant avant de t'accroupir et de ramasser le peignoir. Tu as jeté un coup d'œil dans les sacs qu'il avait laissés pour toi.
