Traduction FR, l'histoire appartient à FATALIST_WRITER sur Wattpad.
Histoire dans laquelle Y/N L/N, une femme ordinaire d'une vingtaine d'années, est témoin de l'enlèvement et de la torture d'une prostituée en fuite du gang Tenjiku.
Elle attire l'a...
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Tu te tenais complètement nue et exposée à ses orbes lilas ternes tandis qu'il t'attachait les poignets avec une corde qui n'était pas complètement serrée, permettant à deux doigts de glisser entre le tissu et tes poignets pour ne pas arrêter ta circulation sanguine. Il vérifie tes deux poignets avant d'attacher la corde à la barre du plafond, te faisant lever les mains et rebondir les seins à chacun de ses nœuds.
Tu n'avais pas d'autre choix que de ravaler ta fierté, car c'était lui ou ses hommes. Tu voulais t'échapper de cet enfer et retrouver la vie normale que tu menais à l'époque.
Izana s'est entêté et a décidé de te punir pour ton insolence. Il était furieux que tu ne partages pas les mêmes sentiments que lui, il voulait que tu restes avec lui alors que tu voulais absolument partir et être libre.
Une fois qu'il eut sécurisé tes deux bras, il recula de quelques pas et sirota sa boisson forte en regardant ton corps, tu te sentais dégoûtée en ce moment et sans défense, mais tes joues étaient complètement rougies.
« Tu es magnifique... » Izana marmonna avant de passer ses doigts basanés dans ses cheveux argentés, il posa son verre et marcha derrière toi. Tu l'entendais fouiller ses objets sexuels et ta curiosité te fait pencher la tête de son côté, tes yeux s'écarquillent lorsque tu le vois attraper une paire de chaines et une barre d'écartement en métal.
En se retournant, il te regarde pendant quelques secondes avant que tu ne penches la tête vers l'avant. Ne disant rien, Izana s'approche de toi et s'accroupit un peu tandis qu'il touche doucement ta cheville et la menotte, il répète la même procédure avec l'autre cheville avant de les verrouiller à chaque extrémité de la barre d'écartement et de cliquer, ce qui fait que la barre se desserre un peu au milieu avant qu'il ne la tire vers l'avant. Tu as sursauté lorsque tes cuisses ont été écartées et tu as senti l'air froid de la climatisation frôler ta chair tendre, formant la chair de poule.
« Il y a quelques règles pour toi... » dit-il en revenant à son verre et en regardant ton beau visage, tu étais absolument hypnotisante à ses yeux. Il ne pourra jamais te comparer à une autre femme car tu es trop spéciale même s'il ne te l'a jamais dit.
Tes yeux étaient collés à son visage, mais tu ne parlais pas. Tu écoutais attentivement chacune de ses paroles lorsqu'il s'approcha de toi et te pinça le téton, ce qui te fit siffler.
« Règle numéro 1, il n'y a pas de safe word pour toi... dès que tu ouvriras la bouche pour me dire d'arrêter, j'arrêterai et je laisserai entrer mes gardes et tu connais la suite... Règle numéro 2, moins tu gémis, moins tu es punie, ce qui veut dire que dès que tu cries, je te punis davantage... Règle numéro 3, pas d'orgasme pour toi, si tu oses jouir, tu auras une longue nuit de punition... tu comprends, ma salope ? »
Tu hoches la tête lorsqu'il lâche enfin tes tétons et te met un bandeau sur les yeux pour t'aveugler, ce qui te rend encore plus anxieuse car tu ne peux plus voir ce qu'il s'apprête à faire. En revanche, tes autres sens étaient en alerte, ton cœur battait la chamade et tu tremblais un peu.
Tu pouvais entendre l'écho de ses chaussures de luxe autour de toi, comme s'il marchait et observait ton corps nu. Ses yeux lilas te regardent comme s'il voulait te déchirer en lambeaux.
Izana s'est arrêté devant toi et a approché son visage de ton cou en effleurant ta chair nue de son souffle chaud. Tu frissonnes un peu et te mords les lèvres, même si tu veux lui résister, l'attirance sexuelle entre vous deux te rend soumise à lui.
'C'est peut-être pour ça qu'aucune femme ne peut lui résister, même lorsqu'on était encore à l'université... il peut facilement chauffer n'importe qui...' penses-tu lorsque tu sens qu'il caresse ton ventre en passant doucement ses doigts sur ton bas-ventre jusqu'à ta chatte.
Un seul doigt effleure doucement ta chatte et cela envoie soudain de l'électricité dans tout ton corps. Tes tétons durcissent et tu sens que ta chatte devient lentement humide. Il s'éloigne de toi pendant quelques secondes avant de s'approcher de toi par derrière et de te caresser le dos avec quelque chose de froid. Ses lèvres chaudes sont à quelques centimètres de ton épaule et son souffle chaud effleure ta peau. Sans le savoir, tu bouges un peu pour être touchée par lui, mais Izana lève son visage pour que tu ne puisses pas entrer en contact avec sa peau.
Izana sourit de ton désespoir, de la façon dont il t'a fait passer du refus de coucher avec lui au désir ardent d'être touchée par lui.
Il fait passer l'objet froid de ton dos à ton bas-ventre, puis à ton front et à ta chatte. Il a lentement poussé l'objet vers ton clitoris en le frottant de manière taquine. Tu as rejeté la tête en arrière et un petit gémissement s'est échappé de ta bouche. Tu frissonnais car l'objet et la brise froide de la climatisation t'excitaient.
Tu étais sur le point de gémir lorsqu'Izana a retiré l'objet, mais au lieu de ça, tu as crié lorsque tu as reçu une forte claque sur tes fesses. Tes yeux deviennent larmoyants derrière le bandeau alors qu'Izana frappe à nouveau, te donnant envie de t'agenouiller, mais tu ne le peux pas. Tous tes mouvements ont été entièrement restreints. Cet objet n'était autre qu'une canne utilisée pour le BDSM, et il savait que la canne la plus fine apporterait la douleur la plus vive alors que la canne la plus épaisse ne ferait qu'un bruit sourd, il a donc évidemment choisi la plus fine.
Son but était de te faire désirer d'abord, puis de te faire souffrir, puis de revenir au plaisir et à la douleur jusqu'à ce qu'il se sente satisfait, comme il l'a dit, tu es sa salope et tu ne pourras jamais lui échapper.
Ton souffle est coupé alors que tu t'attends à un autre coup, mais il ne vient jamais car Izana surveille tes expressions faciales, chaque fois qu'il voit que tu te prépares à recevoir de la douleur, il reste debout et au moment suivant où tu baisses ta garde, il frappe la canne en cuir contre ta poitrine, ce qui te fait crier à nouveau.
Il jouait avec ton esprit et tu n'arrivais pas à savoir quelle partie il allait frapper à nouveau, ton cul ou tes seins.
Tes cris étaient forts, mais ils ne pouvaient pas être entendus de l'extérieur car la pièce était insonorisée.
« Plus tu cries, plus tu souffriras, n'oublie pas les règles... » Il roucoule dans tes oreilles alors que tu transpires malgré la température froide.
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