Chaque endroit me rappelle ton visage, tes sourires
Chaque partie de mon corps tes mains, ton regard
Et j'entends ton rire d'asthmatique par écho
Du monde, je voudrais que ce texte soit le plus beau
Notre Paradis s'est ombragé mais il est récupérable pas vrai ?
Dis-moi qu'il suffit d'un rafraîchissement, d'un blanchissage
D'un ravalement de façade, d'un changement de paysage
Je t'offrirai le bout du monde dès que le temps aura coulé
Lorsque mon monde sans toi aura feint de s'écrouler
Et si mon corps ne t'appartiens plus un instant
Je n'oublierai jamais la chaleur de ton cœur aimant
Et même si tu décides qu'un jour tout est vraiment fini
Je te remercie de m'avoir appris que je pouvais aimer à l'infini
