J'ai passé le pas de porte accompagné de mes acolytes. Ils ont balancés leurs chaussures et leurs vestes, puis se sont installés sur le canapé. Je les ai rejoins quelques minutes après. Nous étions entrain de discuter. Je commençais à être fatiguée, à vrai dire, il était temps. Je partis me laver, je n'arrive jamais à m'endormir sans me sentir propre. La douche m'a réchauffé et je me sentais toute propre. J'ai enfilé mon pyjama puis je partis voir les garçons. Ils regardaient un film, trop mignon. Je me suis installée à côté d'eux, mais j'étais tellement épuisé que mes yeux commençaient à se fermer seuls. Ran l'avait remarqué, j'en suis sûr, car au même moment, il a dit :
- Ran : T/p, Rindo, on va se coucher ?
- Rindo : Tu tiens bien plus longtemps que ça d'habitude.
Ils se sont levé, Rindo a commencé à monter les escaliers mais pas Ran. Il m'a porté comme une princesse, ma tête posée dans le creux de son cou. Son odeur rentrait dans mes narines. Il sent vraiment trop bon. Il me reposa quand nous sommes arrivés dans la chambre. Il faisait canicule, impossible de dormir dans un pyjama. Rindo avait déjà retiré ses habilles. Moi, j'ai commencé à les ôter également. Une fois fini, j'ai sentis le regard pesant de Ran. Il me regardait, il regardait mon corps, il scrutait le moindre détails. Bien sûr je n'était pas nue, j'avais gardé mes sous vêtements. Et je partis m'installé dans dans mon lit, sous mon plaid. Rindo et Ran mon rejoins. On a parler un peu, Rindo s'est endormie pendant la conversation. Je me suis retrouvé avec Ran. Il n'arrête pas de gigoter, il s'est assis et a retiré son tee-shirt, il devait avoir très chaud.
Mais il s'est aussi levé pour aller chercher de l'eau. À ce moment, je sais que j'ai rougis, mon cœur s'est emballé devant la vue qu'il m'offrait. Il était beau, ses tatouages sur son torse et son dos lui donnait un charme que je ne pourrais vous d'écrire ni même vous l'expliquer. D'habitude, on ne les voit que sur son bras. Peut-être que je pense qu'il est beau parce que je l'aime ? Non, non, non T/p, on n'aime pas Ran. Ce n'est rien de plus qu'un ami.Il est revenu avec deux verres d'eau dont un qu'il m'a tendu. Je les bu et lui ai tendu pour qu'il le pose sur la table de chevet. Il s'est retourné, on s'est regardait sans prononcé un mot. Puis il s'est allongé, moi également. Je me suis mise dos à lui, et j'ai essayé de m'endormir. Sans succès.
Je sentis deux bras m'enlacer, c'était ceux de Ran, il m'a rapproché de lui. J'étais, maintenant, presque allongé sur lui, ma tête sur son torse, elle touchait sa peau. Mes mains, elle, était enlacé autour du haut de son corps. J'étais bien, il l'était sûrement aussi. Je ne vous parle même pas des papillons dans mon ventre qui se sont agiter et de mon rythme cardiaque. Mes yeux commençaient à devenir lourd et je m'assoupis sur le torse de Ran, dans ses bras et non ceux de Morphée.
L'heure qu'il était me demanderiez vous. Je n'en sais rien et ce n'est pas la chose à laquelle je pense en ce moment. Je ne sais pas quoi faire, ils ne savent pas non plus.
-Akira : MAMAAAN !!!!!
Son regard, je n'ose plus bouger. Elle rigole, ça la fait rire. Ils ne devaient pas rentrer aujourd'hui. Elle m'a vue avec eux et mes « parents » vont aussi me voir avec eux. Je l'entend monter les escaliers. Je tourne la tête vers Rindo puis vers Ran. Il commence à me regarder d'un air désolé. Ce n'est pas de leur faute. Ma mère est arrivé. Elle me regarde, ses yeux son remplis de malice.
- M/A : Alors petite catin ! Ça ne te suffit pas un seul garçon ? Il faut que tu en ai deux. D'ailleurs tu n'en mérite même pas un seul, tu t'es vue ? Tu es horrible, qui voudrais d'une fille comme toi.
Ran était fou de rage, il voulait me défendre mais je le lui en empêcha. Ça ne ferait qu'empirer les choses.
-M/A : Ils on vraiment mauvais goût. Enfin c'est normal pour des déchets de la société. Ils vont dégager de chez moi immédiatement !
J'étais terrifiée, je me leva pour raccompagner Ran et Rindo à la porte. Quand je suis passé à côté de ma mère, elle m'a gifflé. Les larmes commençaient à couler le long de mes joues. Je savais que ça ne représentait seulement un millième de ce qu'elle va me faire subir. Une fois sur le pas de porte, je pris Rindo dans mes bras, puis Ran, ce n'étais pas le même câlin qu'à Rindo. Celui là contenait toute les émotions que je ressentais à cette instant. Je lui fis un bisous sur la joue et me retourna avant de fermer la porte, les yeux dégoulinant de larmes. Elles m'avaient suivi. Elles me regardaient avec leurs sourires qui voulait dire « tu vas en baver ». Ma mère me frappa une fois, puis deux, puis trois. Sa fille rigolait derrière elle. D'un coup, mon sauveur entra dans la pièce. Mon père.
Malgré que ce ne soit pas mon père biologique, il est adorable avec moi. Je dirais même qu'il me considère comme sa fille. Parfois, il m'emmène faire des activités dehors avec lui et sans les autres membre de la famille. On allait dans des parc d'attractions, pique niquer, à la piscine. Il est excrément gentille, mais malheureusement pour moi, il n'est pas souvent présent à cause de son travail. Il est souvent en déplacement. Pourtant c'est le seul qui arrive à raisonner ma mère.
- P/A : Arrête de la frapper et va te poser.
Elle s'arrêta nette au contact de sa main sur son épaule. Il me fit un regard discret voulant dire que je pouvais monter dans la chambre discrètement. Je me précipita en haut avant de fermer la porte. Je m'affalai sur mon lit, je pleurais à ne plus pouvoir m'arrêter. Je vais vivre un enfer quand il sera partit. J'en suis sur.
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Oui, je sais, il est passé minuit 😔. Il se peux que je n'ai pas fait attention à l'heure car je regardais un live Twitch. Peut être 😅. Je m'excuse du retard ( mais le live était super ! ) .
Qu'avez vous pensez de ce chapitre ? Vous sentez arrivé ce que T/p va vivre ? Moi oui ( sans blague, c'est pas comme si c'était moi qui avait écrit )
Bisous bisous ! <3
À dimanche !
Murasakiii_
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•Moon• / Ran x Reader
Fanfiction•Moon• / Ran X Reader Par Jade Mars Abandonnée par mes parents quand j'étais plus jeune. Je n'ai jamais réellement eu d'ami, j'ai toujours était seul, j'ai appris à vivre seul, et à apprécié ma propre compagnie. Les vacances d'été venaient de déb...