Je viens de me réveiller, je tournai mon regard vers Ran pour m'assurer que ce qu'il c'était passé cette nuit n'était pas tout droit sorti d'un rêve ou de mon imagination. Et non, il était bien à côté de moi. Il regardait son téléphone, quand il a remarqué que je m'étais tournée, il l'a éteint et posé à côté de lui. Il a souris puis, a déposé son attention sur moi. Il a posé sa tête sur la poitrine nue et a enroulé ses bras autour de mon buste. Le contact de nos peaux, nues, m'a fait frissonner.
- Ran : Bien dormis ?
- Oui et toi ?
- Ran : Ouais, on se lève ?
On est finalement rester dans cette position une bonne demi-heure à se faire des papouilles puis, nos ventre ont gargouillé. Signe qu'il fallait qu'on aille manger avant que l'un de nous ne meurt de faim. Je me suis habillée de mon pyjama qui était éparpillé sur le sol et ai descendu les marches pour entrer dans la cuisine et commencer à concocter des œufs brouillés. Je n'ai pas l'habitude de manger salé le matin mais des œufs brouillés, je pourrais en manger matin, midi, soir ! On s'est installés sur le canapé, je me suis blottis dans le creux de ses bras et on a mangé. Pendant qu'il est parti débarrasser la table basse, je suis partie dans la salle de bain pour prendre une douche, mine de rien, faire l'amour fait transpirer. Je fis couler l'eau pendant que je m'étais mes vêtements dans le panier et me glissai sous l'eau. La porte s'ouvre, je ne vous fais pas un schéma pour vous décrire qui l'a ouverte. Il a enlevé son caleçon et a détaché ses cheveux. Il m'a rejoint sous la douche. Il m'a embrassé. Nos deux corps étaient collés. Nous étions serrés malgré que l'espace soit assez suffisant pour deux. Il a prit son shampooing et m'a savonné les cheveux. Il m'a aussi savonné l'entièreté du corps avant de me le rincer. Il est sortit de la douche pour aller me chercher une serviette et m'a enroulé dedans. Puis, il est revenu se laver. Je me suis habillée avec un haut à manche longue, car l'automne s'est installé et il fait dans les alentours de vingt degrés. On est sorti de la salle de bain et comme par hasard, Rindo se trouvait derrière la porte. J'ai regardé Ran, il a rigolé. Rindo, lui, ne disait rien. Il avait seulement sa bouche entrouverte.
- Ran : Fait pas le choqué.
- Rindo : Tu l'as baisé ?
- Ran : Ouais.
- Rindo : Sérieux ?!
- Ran : Ouais. Je lui ai dis.
- Rindo : C'est une blague ! Mon frère dire une fille qu'il l'aime ?
- Ran : Et oui, elle à l'honneur d'être la première. Et sûrement la dernière.
Rindo est entré dans la salle de bain et Ran la suivit. Je rêve ou ils m'ont laisse en plan derrière la porte ?
- Rindo : Alors frangin, c'était comment ?
- Ran : Ouf ! Celle-ci, c'est la mienne. Je te la prêterais pas.
- Rindo : Tu sors avec elle ducoup ?
- Ran : Bah ouais !
- Rindo : Tu l'aimes vraiment ?
- Ran : Biensur ! Je l'aime comme un fou !
Voici ce que j'ai entendu à travers la porte avant de partir dans la chambre et faire mes devoirs. Je préfère les faire tôt et être tranquille le reste des vacances. Surtout que les profs ne se sont pas concertés et que je me retrouve avec dix milles exercices et dissertations à faire. Je crois avoir bosser jusqu'à l'heure du midi. Je n'ai pas préparé de repas alors Rindo a commandé des pizzas. On a mangé et je suis repartie travailler une bonne partie de l'après midi. Jusqu'à ce que je me fasse déranger par Ran.
- Ran : T'en a encore pour longtemps ?
- Oui. Au moins jusqu'à l'heure du dîner.
- Ran : C'est long. Tu viens pas ce soir ?
- Où ?
- Ran : Chez Izana et Kaku.
- Non.
- Ran : Bon, bah, je vais rester avec toi.
- T'as qu'à leur dire qu'ils viennent.
Il a pris son téléphone en main et je devine qu'il les a appeler car à peine raccrocher, il a crier « Rindo ! On va pas chez eux, c'est eux qui vienne ». Et quelle mauvais idée ai-je eu quand il m'ont demandé de préparer le repas. J'ai fais des pâtes carbonara mais avec des émincés de poulet. Je trouve ça meilleur. Les garçons sont arrivés, ils se sont installés atour de la table de la cuisine et je leurs ai servis le plat. Il ont l'air de bien aimé puisqu'ils se sont servis à nouveau. Après le repas, j'ai débarrassé la table pendant que les garçons sont partis dans le canapé et discutent de leurs histoires de gang. Je suis revenus après mettre lavée les mains. Comme je m'y attendais, ils ont pris toute la place.
- Ran : Viens.
Je me suis approchée de lui, il a prit ma main et m'a installé sur lui. Ma tête était réfugiée dans son coup.
- Izana : Ran ?
- Ran : mmmh.
Izana a sûrement crus être discret en lançant des regards sur moi, mais ça ne l'était absolument pas.
- Ran : Aaaah, ça. Oui.
- Izana : T'aurais plus prévenir mec.
Ils nous ont taquiné un bonne partie de la soirée, puis on a mit un film. Je préviens tout de suite que je n'ai pas choisis le film, car dedans, il y avait du cul. C'était trop gênant, car eux, ils sont entre mecs donc ils ont « l'habitude ». Sauf, que je suis la seule fille. Ran commençait à m'embrasser le coup et me laissait ses suçons. Les sensations dans mon ventre ne faisait qu'accroître. Il m'a fait tourner la tête en chuchotant mon prénom dans le creux de mon oreille, il a posé sa main sur ma joue et m'a embrassé langoureusement. Devant tout le monde. Mais ce n'est pas pour autant quand j'ai mis fin au baiser. Nos langues s'entremêlaient et nos salives se mélangeaient l'une à l'autre. Puis, on a mit fin au baiser pour se regarder. Ses pupilles violettes me captivaient, je ne pouvais pas détacher mon regard du sien.
- Rindo : Aller baiser ailleurs.
J'ai détourné le regard, gêné de ses dires et me suis concentrée dans le film. Une fois qu'il fut terminé, on a un peu discuter et Izana et Kaku sont partis chez eux.
꧁☽☾꧂
Coucou ! Comment vous allez ?
Voici un chapitre où les choses d'officialises ! Maintenant tout le monde le sait !
N'hésitez pas à me dire votre avis et ce que vous pensez qu'il va se passer par la suite !
Bisous <3
Murasakiii_
VOUS LISEZ
•Moon• / Ran x Reader
Fanfiction•Moon• / Ran X Reader Par Jade Mars Abandonnée par mes parents quand j'étais plus jeune. Je n'ai jamais réellement eu d'ami, j'ai toujours était seul, j'ai appris à vivre seul, et à apprécié ma propre compagnie. Les vacances d'été venaient de déb...