Aéroport international de Zakhaev
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Le FSB à désormais sécurisé tout l'aéroport. En s'occupant des corps morts des civils, des agents de sécurités ou encore des soldats, les militaires russes on retrouvés le corps inerte de Joseph Allen, alias un agent américain de la CIA.
En apprenant cela, le président russe a prit cette information comme une provocation de la pars des américains.
_ Je ne laisserai sous aucun prétexte passer ça, s'exprime Boris Vorshevsky, président de la Russie.
Un blanc s'installe dans la zone.
_ Un massacre de la pars des américains. Je-
Je le coupe.
_ Monsieur, avec tout le respect que je vous dois, Joseph Allen était le seul amé-
_ Taisez-vous, jeune fille. Pourquoi êtes-vous ici?
Faisant abstraction de son surnom à mon égard, je me tourne complètement vers Boris Vorshevsky et plante mon regard dans le siens.
_ Je n'appartiens à aucunes fractions. J'étais venue pour arrêter Makar-
_ Elle est marrante celle-là, dit-il avant de limite s'étouffer d'un rire grave. Je le fixe d'un mauvais il.
Il va jamais me laisser en placer une?
Se calmant, il reprend son souffle et m'adresse une nouvelle fois la parole.
_ Mistinguette, avouons que tu agis bel et bien seule, comment savais-tu pour les plans de Makarov avant nous ?
_ Mes recherches.
_ Tu te moques de moi?
_ Négatif.
Il s'apprête à m'attraper par le col lorsqu'une main l'en empêche.
_ Monsieur, une voix calme s'élève.
Je remarque qu'il est celui ayant trahit Makarov, celui que j'ai retrouvé presque mort sur le parking. Il arrive à tenir debout? Et comment ça se fait qu'il puisse se permettre d'être aussi familier avec le président sans se faire réprimander ?
Le président russe soupire et se retourne, me faisant dos.
_ Cette conversation n'est pas terminé, mais j'ai d'autre problème à régler.
Il part, suivit par quelques soldats. Le reste s'occupe d'évacuer les survivants.
Avec moi est resté cet homme retrouvé sur le parking.
_ Qui es-tu ? Je finis par demander.
Il se retourne en me souriant.
_ Yuri. Ancien Spetsnaz, il me tend la main pour la serrer.
Mon regarde devis de son crâne chauve jusqu'à sa main tendu. Je regarde désormais dans ses yeux.
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La rencontre des astres
أدب الهواة"et à la fin, nous étions juste des humains ivre à l'idée que l'amour, uniquement l'amour, pourrait soigner nos blessures." - Scott Fitzgerald ¤¤¤ (T/p)...
