Genshin Impact Kaeya x Oc [Pause]

Chapitre I: Le prologue

Salut tout le monde ! Cela fait un long moment que je n'ai pas écrit mais je reviens en force avec une toute nouvelle fan fiction :)

Ces derniers mois, j'ai découvert un jeu se nommant Genshin Impact, et j'en suis devenue complètement fan. Entre les personnages, les événements, et en passant par le lore, cela fait longtemps qu'un univers n'avait pas autant attiré mon attention. Aujourd'hui, je vous propose de vous immerger dans cet univers avec moi, en comment par le prologue.

Bonne lecture !

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Année 2048, la Terre, ou plutôt ce qu'il en reste. Dix ans auparavant, un terrible incident s'est produit : une nation avare de pouvoir s'est auto-détruite, dans un cataclysme sans précédent, entraînant la destruction d'une partie de la Terre. Comment la Terre subsiste-t-elle encore aujourd'hui ? Je l'ignore, mais depuis ce jour, nous, survivants, faisons régulièrement face à des tempêtes de poussières, conséquences que la Terre se désagrège petit à petit, de jour en jour. Mais la poussière n'est pas notre seul ennemi, tantôt vous succomberiez de chaud pendant la journée, ou tantôt vous succomberiez de froid pendant la nuit sans équipement adéquate. Survivre est un combat de tous les jours. Cependant, nous n'aurons bientôt plus d'endroit où fuir, et nous n'aurons plus d'autre option que d'embrasser notre destin, aussi cruel soit-il. Vous pouvez essayer de repousser l'échéance autant que vous le souhaitez, mais le temps n'épargne rien ni personne. Comme à mon habitude, j'avançais péniblement à travers une ville fantôme de plus, au milieu des bâtiments délabrés et des arbres desséchés par la poussière. Il était rare de trouver de la vie, que ce soit des êtres humains, des animaux, des plantes ou tout simplement de l'eau en fait. Il ne restait rien à part des ruines.

Oxya : Ah... Qu'est-ce que je meurs de faim et de soif. Le prochain refuge est encore à quelques kilomètres de marche.

J'y arrivais finalement au petit matin et me fit aborder par un jeune garçon.

Jeune garçon : Venez, il y a des fruits secs et de l'eau qui vous attendent là-bas, dit-il tout en m'accompagnant vers une table pleine de denrées tenue par sa mère.

La nourriture était rationnée et étonnement, tout le monde s'y tenait. Après tout, ce n'est pas comme si nous avions le choix. Si nous voulions survivre, il fallait se serrer les coudes.

Mère de famille : Alors ? Comment est-ce dehors ?

Oxya : J'ai bien peur que nous manquions de temps. Prévenez tout le monde que nous devons lever le camp d'ici ce soir.

En attendant ces mots, je vis la peur et le désespoir s'emparer de son visage alors que son fils essayait de lui demander ce qu'il se passait. Quelques minutes plus tard, tout le monde fut au courant et commença à préparer ses affaires. De mon côté, après mon repas, je partis me reposer. À peine quelques heures plus tard, je fus réveillée en sursaut par le signal d'alarme qui retentit dans le refuge. « Fermez les ventilations et mettez-vous sous les tables » cria-t-on. Ce refuge avait été fondé dans un bâtiment robuste et anti-sismique, mais l'on avait toujours l'impression qu'il pouvait s'effondrer n'importe quand. La secousse dura de longues minutes, aux bruits des objets qui se fracassaient sur le sol. Miraculeusement, personne n'avait était blessé cette fois-ci. « Tenez-vous prêts, nous partirons après que la tempête de poussière soit passée » lança le chef de groupe. C'était toujours comme ça, un séisme, suivit d'une tempête de poussière, conséquence du séisme qui est lui-même une conséquence que la Terre se désagrège. La tempête sembla durer une éternité. Je regardais ma montre, et celle-ci indiquait quinze heures. Il était déjà tard. Je me levais et alla voir le chef de groupe.

Oxya : Il faut que nous partions maintenant !

Chef de groupe : Es-tu folle, petite ? La tempête fait encore rage dehors ! Tu n'entends donc pas le vent s'entrechoquer sur les murs ?

Oxya : Si, je l'entends même très bien...

Chef de groupe : Alors retourne à ta place !

Oxya : Très bien, je vois que je n'ai pas d'autre choix, je lui répondis en soupirant.

Je pris mes affaires et mis mon masque à oxygène avant de me diriger vers la porte. Cependant, le chef de groupe me barra la route, m'interdisant d'ouvrir la porte sous aucun prétexte. Tout les survivants regardèrent la scène qui se déroulait devant eux avec des yeux inquiets et de l'appréhension.

Chef de groupe : Personne ne doit ouvrir cette porte !

Oxya : Franchement, à quel point es-tu con ? La tempête est déjà fini depuis un bon moment. Il faut partir maintenant. Tout ce que nous entendons, ce sont les hurlements produit par le gouffre.

Il était prêt à en découdre avec moi, et me prenait probablement pour une débutante mais, je l'envoyai valser deux mètres derrière moi grâce à une technique de self-défense sous le regard ébahi de tous les autres. J'avais déjà eu affaire à des gens comme lui par le passé, et même des personnes encore pire que lui, mais tous ont perdu face à moi. Je pris finalement la poignée de porte en main et la poussa vers l'extérieur tant bien que mal. Ce qu'il s'offrait devant moi était inconcevable, et c'était comme je le pensais.

Oxya : Nous sommes perdus...

Tous les survivants se ruèrent dehors quand ils virent qu'il n'y avait aucun danger dehors. Ce qui s'offrait devant nous était à la fois magique et terrifiant. Il faisait déjà nuit à quinze heures, il faisait plus froid en pleine journée et les vents soufflaient en continu. Devant ce spectacle, tous se mirent à paniquer, à prier et à pleurer leur pauvre sort.

Oxya : Nous n'aurons bientôt plus d'autre option que d'embrasser notre destin, aussi cruel soit-il, répétais-je plusieurs fois à voix basse, et cette heure, ce moment, est enfin arrivé.

Je voyais au loin la terre se disloquer rapidement en avançant vers nous et il n'y avait plus aucune échappatoire... Dans un dernier élan d'adrénaline et d'espoir, tout le monde se mit à courir pour échapper au gouffre, mais nul n'échappe à la fin. Toute histoire à une fin, et la mienne n'y fait pas exception. Le gouffre nous rattrapa. Je tentai de m'accrocher une dernière fois, en vain. Je tombai avec tout le reste du groupe, tendant ma main vers le ciel, espérant que tout ceci ne soit qu'un cauchemar dont je me réveillerai. Mais... C'était bien la réalité. Le froid de cet espace vide me gagna rapidement, mes pensées se brouillèrent et je perdis peu à peu connaissance. Et c'est ainsi que prit fin le premier monde, un monde sans magie. Mais quand un monde s'effondre, qu'advient-il des règles qui le régissent ?

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Merci d'avoir lu jusqu'au bout !

Le rythme de publication sera plutôt aléatoire, en fonction des idées que je développerai au fil des chapitres.

N'hésitez pas à partager votre opinion concernant ce premier chapitre, et à lâcher un petit vote si cela vous a plu.