10. 𝑀𝑖𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛

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Coucou, alors ce chapitre va être assez fait de description. Surtout d'un lieu, alors je tiens à préciser que mon imagination n'empêche pas la votre et que mes descriptions peuvent évidemment vous déplaires. Je vous laisse imaginer les choses et les personnages comme vous le souhaiter bien sûr mais je préfères détaillée les choses nouvelles à chaque fois pour mieux vous situer dans le contexte et l'environnement.

Sur ce, bonne lecture.🤍











10. Mission










Aria Reyes :

San-Diego,

Après plusieurs longues minutes de route à me faire sermonnée par mes deux amis, nous arrivons enfin devant un grand portail noir. Il est ouvert puisque les deux motards viennent de le passé. Nous avons dû les suivre pour arrivés finalement ici. Une fois la barrière dépassée, nous sommes face à une longue allée bétonnée, blanche. De chaque cotés de celle ci se trouve des arbres plus ou moins hauts, des parterres de fleurs magnifiquement bien entretenus, des lumières sont aussi positionnées sur le long de l'allée.

Enfin, notre voiture se gare face à une immense villa. Somptueuse et très moderne. Au milieu se trouve un large escalier menant certainement à l'intérieure. À gauche, un mur de pierres blanches est illuminé de petits spots dissimulés. Un semblant de balcon est au dessus de voitures, elles aussi garées. Je remarque également un autre escalier plus discret. A droite, la façade est faite d'une immense baie vitrée. Un palmier la cache grossièrement. Le toit plat à l'air boisé.

Putain de merde c'est quoi ça ?

- La maison de malade wow !

- Tu m'étonnes.

- Lowen, tu est sûr qu'on ne s'est pas trompés ? Lui demandais-je en sortant de mon analyse.

- Non, vous êtes au bon endroit.

Liam. Il se poste devant moi toujours accompagné de son ami. Il me surplombe de toute sa hauteur, ses cheveux sont maintenant en bataille à cause de son casque qu'il tient dans sa main. Ses yeux clairs sont toujours aussi profonds et attirants. Le noir dangereux qui voilait son vert à laissé place au marron, c'est plus doux et encore plus intriguant. Ses pupilles restes accrochées aux miennes et voyant qu'il ne se décide pas à enfin allé chercher ce qu'il me doit je formule :

- Tu peux me rendre ma pochette s'il te plaît, qu'on en finisses ?

Ma formule de politesse ma vraiment irritée la gorge. Un type comme lui ne les méritent même pas un minimum.

- Viens.

À trois, nous emboîtons le pas à la suite des deux hommes. La porte boisée beige s'ouvre pour nous invitée à entrer. Et c'est magnifique, le petit hall d'entrée se remplit de nos présence. Nous poursuivons la visite sur une grande pièce très ouverte qui nous accueille. Les murs sont clairs, les plafons hauts et sombres ce qui impose un contraste gris et doux. Le mobilier est lui aussi foncé, presque noir. L'entrée est meublée de tableaux, miroirs, bancs et de portes manteaux.

Des escalier côtelés de verrières tombent au milieu de la pièce, sur la droite un salon confortable et lumineux est disposé. La clarté de la fin de journée traverse les baies vitrées. Un couloir se trouve juste derrière une salle à manger qui trône plus loin du salon. La gauche est complétée d'une cuisine au même tons.

Je suis réellement surprise par le goût de cette décoration luxueuse mais splendide. Comment un connard peut-il aussi bien savoir décorer ?

Et surtout, comment fait-il pour ses payer une baraque de la sorte ?

The Abysses Of My Heart Où les histoires vivent. Découvrez maintenant