(pour le coup c'est un délire qu'on s'est pris avec un pote, j'ai dicté le texte en l'improvisant, et en mettant volontairement que des phrases ultra alambiquées, puis il a pris en note ce que je disais)
(écrit le 14 avril 2023)
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Gershwin, l'ostensible poularde, violaçait cette xénomorphique cité, scindée en une transcendantale décharge incarnatrice du cambouis sanguinolant, ainsi qu'en un arborescent consensus de colonnes, qui étaient l'intrisèque piédestal de ce système aristocrato-politico-sociétal, bordé par deux titans, qui avaient pour rôle de former une répulsion des déboires, alimentés par les classes populaires et anarchistes, du royaume limitrophe de nos oculogyresques piliers.
Ce filet d'axonge nous évacuait quelques mots de paysans enragés. Cette atriviale tribulation tonitruante la triturait tant on tâtait ses tons. La triviale décroissait sur R à notre bon réconfort.
Elle faisait désormais l'objet d'une dactylographie impétueuse, d'une idiocratie majestueuse et exsystémique. Il fallait un modèle architectural inédit et se voulant anti-trivialistique.
D'abord un camp d'aubépine au sein duquel on trouvait de multiples cavités et entouré de puissantes couches de fougères infranchissables et de ronces.
Les cavités entrouvraient parfois une vue éternelle vers des puits infinitésimaux et supracosmiques. L'harmonie résidait dans ce lien établi entre les castes franchissant la ronce et la fougère pour établir un supraluminique accès à l'aubépine par le cambouis.
"Depuis quand la lune brille-t-elle ? "- demandais-je au ciel nocturne, un verre de vin à la main. Le sang de la triviale me concrétisait, transcendant la métaphysique pour privatiser l'aubépine. Cependant, la fallacieuse preuve de l'industrialisation optimiste démontrait l'absurdité de son futur. L'épineuse frontière du palais céleste dysfonctionnait et sa lipophobe membrane s'inversait, débouchant sur un tourbillon d'aubépine projetant le fruit des germes du printemps de la graisse.
Proportionnellement à tous les schémas, une équivalente et hivernale nécrose attendait le printemps.
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Concentré D'Idiosyncrasies
SonstigesUn recueil des nouvelles que j'ai écrites, dans l'ordre, entre mes 14ans et maintenant. À noter que certaines d'entre elles ont été écrites à la légère, sans relecture, un jour peut-être je m'y mettrai, mais pas maintenant.
