35~ Là où le Soleil disparaissait

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[...]

Je n'aurais que faire de la beauté et de ses mystères,
Si par malheur nous ne nous étions jamais embrassés,
Parce que tu portes sur tes ailes absolument toutes les prières,
Dans lesquelles j'exprimais le souhait de pouvoir te rencontrer.

Je n'aurais que faire du ciel bleu et de sa voie lactée,
Si tu n'avais pas peint ses étoiles dans le fond de mes yeux,
Je n'aurais jamais pu entendre les voix de l'amour chanter,
Depuis les coins perdus de mon coeur jusque dans les cieux.

Et puisque nos deux âmes semblaient se regarder comme nous le faisions,
Nos deux corps s'attiraient mutuellement comme deux galaxies vagabondes,
On pouvait entendre nos deux grands cœurs crier « Nous nous aimerons ! » ,
Voulant ainsi vivre et découvrir à deux les recoins de ce Monde.

Et puis un beau jour, j'ai posé mes lèvres sur les tiennes, et le crépuscule n'avait plus aucun effet,
J'avais trouvé quelque chose de plus beau dans un baiser de tes lèvres, là où le Soleil disparaissait.

Ce qui me plaisait avant tout, c'était la profondeur et la sagesse de la noire pénombre,

Mais toi, toi tu en as fait quelque chose d'incroyable que je voudrais revivre chaque secondes.

[...]

Un jour je serai amoureuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant