Ebony.

On va se disputer chaque jour

Moi: il faut que je rentre rester dans cette voiture à faire des cochonneries avec toi ça ne m'aide pas.

Lui: à ce point mademoiselle Nassim.

Moi: à ce point monsieur niang.

Il rigole et me serre dans ces bras.

Lui: je te dépose avant qu'on ne me retire mon droit de te courtiser.

J'éclate de rire.

Moi: tu as fais comment pour les convaincre.

Ses doigts écarte mon clitoris me faisais gémir contre lui.

Moi: putain enlève ta main.

Lui: non, elle est hyper douce ton minou. Et tu mouilles hyper vite bébé.

Moi: arrête de me perturber et dit moi. Arrête de me caresser aussi. Enlève ta main.

Il retire sa main. Je me sentais vide purée.

Il se lèche les doigts devant moi. Ma bouche était en grand O.

Lui: tu veux que je les remettes?

Moi: oui je me sens vide.

Il ne me laisse pas continuer avant de prendre mes lèvres entre les siennes. Alors que mon minou était en feu sous l'excitation. Sa langue et la mienne se retrouve c'était tellement torride tellement bon en même temps je sens mes jambes trembler au fur et à mesure. Alors que je ne contrôle plus mes spasmes je jouis délicieusement dans ces bras. Pour la première fois.

Je ne savais même pas qu'on pouvais jouir juste en faisant ça.

Il enlève sa main et presse mes fesses contre son pantalon déjà en erection je me frotte tendrement contre lui il grogne contre mon oreille.

Cette voiture n'était que soupirs et gémissements.

Ayden: Bonn je te depose putain je peux pas. Olala je vais mourir si ça continue tu es un bébé c'est mon premier vrai jour de près couple je dois pas enchaîner comme ça bordel tu as des fesses qui peuvent réveiller un mort lève toi.

Moi: non.

Ayden: lissa lève toi je t'en prie. Je ne veux pas.

Moi: tu ne veux pas quoi ?

Lui: tu ne sera pas comme les autres, j'ai trop envie de toi là si je continue je te ferai l'amour là ici , maintenant.

Moi: Ahh Ohhh

Lui: bien sure que ohh  tes délicieuse tu es assises sur moi, tes  seins sous mon nez contre mon visage et putain ton string minuscule ne couvre rien sur tes fesses et je sens tout contre mes jambes sans me perdre en toi donc c'est littéralement dure alors enlèves ton corps de diablesse de moi.

J'éclate de rire et lui fais un smack.

Il respire fortement contre mes lèvres.

Je me lève en faisant exprès de passer ma main sur sa braguette.

Lui: je vais te tuer.

Je rigole et refais le même geste.

Il m'installe sur mon siège et attache ma ceinture.

Il conduit en jurant de me le faire payer.

On arrive devant ma maison mon père et tonton matar étaient en train de discuter. Il me dépose sans me regarder je rejoins mes papas.

Moi: bonsoir.

Tonton nagar: bonsoir chérie cava ?

Moi: oui je voulais vous remercier pour tout vraiment.