DEMANDE-MOI PARDON [Skz fanfic ↪ Binchan / TERMINEE]

.18. Loup et pinces tétons

En regardant le mail Changbin soupira d'exaspération. Il avait oublié ce truc.

La tête penchée en arrière sur sa chaise de bureau, il sentit lentement des mains passées sur ses trapèzes puis glisser sur ses pectoraux lui arrachant un frisson de bien être tandis que des mèches blondes vinrent lui chatouiller les joues. Bang Chan ronronnait contre la peau de son cou, continuant ses caresses sur son torse.

" Qu'est-ce que tu regardes ? Il marmonna frottant son nez sur la pointe de mâchoire.

Changbin n'arrivait même plus à ouvrir les yeux, profitant de la douceur de ses mains sur sa peau nue.

- Un mail de rappel de la boîte, il souffla.

- Hum.

Bang Chan jeta un regard sur l'écran de l'ordinateur ouvert. Des couleurs vives qui clignotaient sous le nom " SOIREE D'HALLOWEN". Il revint à son activité, glissant simplement sa bouche légèrement entrouverte sur la veine qui pulsait dans le cou du noiraud.

- T'aimes pas les soirées déguisées ?

- Je déteste ça. J'essaie toujours de l'esquiver cette fête mais cette fois je l'ai oublié et maintenant j'ai plus d'excuse.

Changbin pencha davantage la tête, offrant une meilleure prise aux attentions du blond qui traçait son chemin jusqu'à ses clavicules, pressant un peu plus les doigts sous l'arrondi de sa poitrine. Cette pression fit légèrement cambrer Changbin.

- C'est simple cette année, tu as vu ? Juste un bal masqué. Tu achètes un loup tout simple et on en parle plus.

- Hum..., gémit Changbin alors que Chan expirait son souffle chaud à chaque mot et que ses doigts remontaient sur ses tétons.

- Personnellement, je suis impatient de te voir avec un loup et de te déshabiller après.

- Putain Chris...", siffle Changbin alors que Bang Chan pinçait son téton droit.

Le noiraud fait pivoter sa chaise de bureau, obligeant le blond à venir s'assoir sur jambes et l'embrasser avec fougue. Ils étaient déjà nus, cela allait faciliter la tâche.

Bang Chan dormait souvent chez lui depuis quelques jours et les autres jours, c'était lui qui allait chez l'australien. Changbin avait pris l'habitude et il ne pouvait nier qu'il aimait le retrouver le soir et l'embrasser le matin. En dehors de leurs parties de jambes en l'air plus que torrides, il aimait pouvoir le retrouver dans un cadre intime, en dehors du travail, en dehors du Bercail. Une telle proximité presque quotidienne aurait pu conduire à des violentes disputes, et cela arrivait, mais le fait de savoir qu'ils allaient se retrouver rapidement seul avait facilité la réconciliation. Naturellement, beaucoup de fois sur l'oreiller car ni l'un ni l'autre n'arrivait à ravaler sa fierté et s'excuser. Têtes dures un jour, têtes dures toujours.