Je T'haine - Mon Garde Du Corps

CHAPITRE 6

Nous courons tous les trois a travers le champs. J'avais finalement pris Ruger avec mon bras gauche car il hurlant dans le sac. Nous arrivons à l'autre bout du champs tandis que nos traqueurs étaient au millieu. Nous arrivons à nouveau dans une forêt, mais au lieu d'aller tous droit on vas a gauche. On s'enfonce encore plus dans la forêt. Je ne croyais perdue. On arrive au pieds d'un immense arbre donc le troncs devait faire plusieurs mètre cube.

On s'arrête. Je ne sais pas pourquoi. Le garçon débroussaille un peu le lierre qui s'y trouvait et actionne un mystérieux levier. Une échelle tombe du haut de l'arbre. Il s'écarte
-À toi l'honneur, me souriait-il. Je remet Ruger dans le sac et grimpe l'échelle. Il me suivit.

Arrivés en haut, il y avait un immense palier de bois. Je m'assois dessus. Il arrive à son tour et ramasse l'échelle. Il se relève et m'attrape a nouveau le poignet. Je sais qu'il est beau mais quand même...
Il m'emmène vers une porte en bois. Il ouvre et me fit entrer. A l'intérieur, on pouvait trouver tous de traditionnel d'une vraie maison. une cuisine une table un canapé même une télé. Il y avait une autre porte entre ouverte. J'apercevais vaguement un lit, j'en déduit donc que c'est une chambre.
-Fait comme chez toi.

Je le pris à cœur. Je m'assis sur le canapé et sors le chien. Celui-ci s'allonge sur moi et roulé sa tête contre mon pull. Le garçon enlève sa cagoule et sa capuche. C'était lui. Le même garçon qu'au collège...

-Moi c'est Thibault, toi Hena non? 

J'acquiesce d'un simple sourire. Il était craquant.

Le chiot se réveille en sursaut. On entendait le bruit des hommes juste en bas. On les entendait crier. 

-Hena je suis là ! Criait-il. 

Thibault se lève d'un bond et éteins absolument toute les lumière. Ruger saute du canapé et vint se coucher par terre. Il était apeuré, il avait sentit la présence des hommes.

Silence. Il n'y avait aucun bruit. Il faisait sombre mais je parvenais tous de même à distinguer la silhouette de mon chiot et de Thibault.
Aurais-je dis mon chiot?

Je sens Thibault s'approcher et de moi et.. devinez .. oui! Il m'attrape le poignet !

Il m'emmène dans la pièce que je n'ai pas encore vus. J'attrape Ruger et tous les trois entrons. Thibault referme la porte a clef et s'assoit sur le lit.
-Je t'inquiète pas, c'est impossible de savoir que cet endroit existe vus de l'extérieur. Me chuchote-t-il.

Je m'installe à mon tour tenant bien fermement le chiot dans mes bras. Celui-ci enfonce sa tête dans mes bras.

J'ouvre les yeux. M'étais endormie ? J'étais dans un lit, pas le mien. Ruger entre mes bras. J'enlève la couette qui me recouvrait. Je ne portais pas les même vêtements que la veille. Comment est-ce possible ?
Ruger se réveille en même temps que moi. Il baille intensément et se met debout. Il bondit sur le lit comme pour échauffer ses pattes.

-Bien dormie ? Me lança-t-il.

Je me retourne. Il était là, dans un coin de la pièce, assis sur un fauteuil mauve. Me regardait-il dormir depuis tous ce temps? 

J'observe les alentours, mais j'étais trop préoccupée de me demander ou est mon sac plutôt de d'observer quelque chose. Je cherche. Enfin, je le trouve au pieds du lit. Je le prends et cherche mon téléphone, par chance, il était tous au-dessus. Je l'allume. 5h36. Je dois rentrer chez moi  avant que mon frère arrive. Je me lève du lit. 

-Je dois rentrer chez moi, annonçais-je. Il rigole, encore. 

-Mais oui bien sûre. Il se lève. Je crus un instant qu'il allait encore m'attraper le poignet, d'ailleurs, il est tout rouge. Tu n'iras nul part avec le chien, Hena. 

Je ne comprends pas. Il se dirige vers moi et attrape le chiot dans ses bras. Celui-ci se débat comme jamais. Je ne comprends pas. 

J'attrape mon sac et je les suis à travers la cabane. Thibault passe par la porte d'entré avant de se retrouver sur le pallier. Il prends Ruger entre ses main et le tends au-dessus du vide. Que fait-il?? Le chiot abois de toutes ses forces. 

-Mais tu es malade ! Criais-je. 

-Ce chiot de t'appartiens pas ! 

-Il n'appartient à personne ! Hurlais-je. Au même moment, Ruger parvins a mordre son avant bras. Par surprise, Thibault le lâche, il tombe. 

Je cours en direction de l'échelle. Je descends à toute vitesse jusqu'en bas. Mon cœur s'arrête net. 

Ces hommes. Tous les mêmes. En cagoules noirs et survêtements sombres. Comme celui de Thibault. C'est à ce moment là que dans ma tête tous deviens clair. Mais pourquoi ? Tous étais prévus ? Thibault faisait-il partit de ces hommes-là aussi ? La suite de ces éléments nocturnes me laisse perplexe.

Les hommes me regardent. J'entends Thibault descendre de l'échelle à son tour. Un gros homme musclé parvins à hisser une muselière sur la tête de Ruger, ainsi qu'un sac poubelle. Il abois et se débat.

Je ne comprends pas.
-Thibault attrape-lui les pattes on vas le mettre dans la cage. Criait l'un des hommes

Trois gros hommes sortent une cage en fer d'un  camion noir qu'ils avaient réussis à placer entre deux arbres.
L'horreur se passait dans mes yeux sans que je ne puisse rien faire. Ces hommes maltraitaient un pauvre chien, bébé en plus, qui n'a rien demandé à personne.
-Ok 'pa ! Répondit-il, presque en chuchotant. Il me jette un regard, comme pour s'excuser, et par au secours de son PÈRE ?!
PAPA ?!

C'en ai trop pour moi. Les hommes ne semblaient pas me remarquer.

Il s'est passé tant de chose cette nuit. Est-ce normal qu'en l'espace d'une seule nuit ont puisse fuguer sauver un chiot se faire traquer dormir dans une cabane en bois avec un homme bizarre qui me tourne autour depuis le premier jour ? 

-Et elle, on en fait quoi chef?! Hurla un homme en me pointant sévèrement du doigt.
Je frissonne. Est-ce de moi dont on parle ?

L'homme dont j'ai sauvé le chiot sur la plage, devant aussi être le chef, s'approcha de moi, les pas lourd et le regard froid. Mon instinct m'ordonne de courir.

Je me retourne le plus vite possible et cours. J'entends ses pas derrière les mien, il me suit.

Il me suit.

Je tourne un quart de seconde la tête en sa direction. Il portait une arme. J'en avais peur.

Il courrait plus vite que moi. Il me rattrapait.

Je sentis au bout d'un moment tous son poids du corps s'écraser sur moi.