Il a prit des coups de soleil ;
sa peau se pèle.
Le journal flotte dans la brise à côté
d'une canette vide, criblé.Les battements de son cœur comme le galop des chevaux.
Le sang bouillant comme les pierres du désert.
C'est la voie des sourds qui s'élève et avec ça, il a tué.Ismaël a
tué.Le sang à giclé, le corp est tombé, un nuage de poussières s'est levé.
C'est sans fin, Dieu
La mort est innocente et l'humanité coupable.
Plus que des enchaînés de la puissance concurrentiel.
Un cri résonne, il s'écroule.
Et là, Dieu à entendu : ishma'el
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Ismaël
PoetryMontres de luxe, escrocs, tarmac brûlant. Ismaël sans prénom, fuite des routes trop grandes, impératrices du mondial capitalisme, Salvatore à la radio qui grésille. Fin du silence. Il a tué.