V

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Il a prit des coups de soleil ;
sa peau se pèle.
Le journal flotte dans la brise à côté
d'une canette vide, criblé.

Les battements de son cœur comme le galop des chevaux.
Le sang bouillant comme les pierres du désert.
C'est la voie des sourds qui s'élève et avec ça, il a tué.


Ismaël a
tué.

Le sang à giclé, le corp est tombé, un nuage de poussières s'est levé.

C'est sans fin, Dieu

La mort est innocente et l'humanité coupable.
Plus que des enchaînés de la puissance concurrentiel.




Un cri résonne, il s'écroule.
Et là, Dieu à entendu : ishma'el



IsmaëlOù les histoires vivent. Découvrez maintenant