28 - Vision Luthor

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Lundi 

Quelque chose a réveillé Lena. Elle gémit dans l'oreiller et garda les yeux fermés. Peut-être que quoi que c'était sa s'en irait- toc toc toc. Quelqu'un frappait à la porte. Lena se redressa si rapidement que sa vue mit quelques secondes à rattraper son mouvement. Merde. Quelqu'un était à la porte et Kara dormait profondément sur son canapé. Se déplaçant vers le bas du lit, Lena secoua vivement Kara par l'épaule. "Kara ! siffla-t-elle entre ses dents. Kara, réveille-toi ! Réveille-toi !!"

"Je vais franchir la porte de cet arbre" marmonna Kara, poussant la main de Lena et se retournant, un petit ronflement lui échappant. Un autre coup vint à la porte.

Merde, elles n'avaient pas le temps pour ça. Lena tendit la main derrière elle et attrapa son oreiller, puis avec un murmure d'excuses, frappa Kara avec. Kara gémit, mais ronfla à nouveau. Incroyable. « Kara ! Kara, réveille- toi !" Lena a de nouveau frappé Kara au visage avec l'oreiller. Kara ouvrit les yeux juste au moment où un autre coup vint à la porte. Kara tourna des yeux paniqués vers Lena, qui était toujours agenouillée sur le bord du lit avec l'oreiller dans ses mains et tout d'un coup, elle était tout en mouvement. Lena remonta sur le lit pendant que Kara arrachait les draps du canapé et les fourrait sous le lit. La prochaine chose que Lena savait, elle était blottie contre Kara, tenant un livre dans ses mains et Alex était à la porte en train de plaisanter sur l'interruption.

Lena avait peut-être paniqué, s'était peut-être inquiétée qu'Alex les ait découverts, mais la main de Kara était sur son ventre. Son ventre nu. Kara caressait la peau du ventre de Lena avec son pouce et Lena se sentit presque désossée avec le frisson. Son corps bourdonnait de plaisir et elle s'affala contre Kara, contente de s'allonger contre elle. Le simple toucher faisait toutes sortes de choses compliquées à l'intérieur de Lena et elle parvenait à peine à rester consciente de la conversation qui se déroulait autour d'elle.

Quand Alex est parti, Lena s'est permise de se détendre encore plus contre Kara, la regardant. Leurs regards se sont croisés et Kara a serré doucement Lena. Lena sentit la chair de poule éclater sur sa peau et elle sourit à Kara alors qu'elles parlaient et plaisantaient entre elles. Lena se blottit plus contre Kara, elle aurait été bien contente de rester ici toute la journée, juste à parler, mais des plans avaient été faits pour aller en ville et déjeuner. À l'heure actuelle, elles avaient la maison pour elles seules pendant un certain temps et il n'y avait pas de meilleur moment pour parcourir une partie du dossier d'immigration. Lena s'autorisa encore quelques secondes de la main chaude de Kara sur son ventre avant de s'expirer et de se lever, enfin. Pendant que Lena se brossait les dents et se coiffait, Kara descendit pour leur préparer un chocolat chaud.

Quand Kara lui tendit le chocolat chaud avec une canne en bonbon dedans, Lena était un peu confuse. C'était en avril. Pourquoi y avait-il une canne à sucre ? "C'est pour le remuer avec" a expliqué Kara, attirant l'attention de Lena. "Fais-moi confiance."

"Oui" répondit Lena, en remuant tout en s'asseyant contre les oreillers. Quand elle a pris une gorgée, elle a été immédiatement transportée à Noël, rampant avec Ruby sur le tapis de Sam, jouant avec des jouets et riant pendant que Sam prenait des vidéos. Kara avait l'air excessivement ravie que Lena ait aimé l'ajout de la canne en bonbon et Lena a décidé d'en commander des pots pour aller dans la salle du personnel de CatCo, ainsi qu'un pot qui serait dans son tiroir dans son bureau à L -Corp. Elles avaient décidé de parcourir la section des relations passées des questions. Lena pouvait dire qu'elle avait surpris Kara en mentionnant Andrea Rojas, la femme que Kara avait rencontrée vendredi. Kara semblait avoir un peu de mal à gérer cela et Lena sourit un peu. Cela ressemblait à un cas classique de jalousie pour Lena et l'a ajouté à sa liste interne d'indications que Kara pourrait être intéressée par elle.

Quand j'arrive chez nous, prend mon masqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant