Pdv:Sarah
Pedro: t'aurai pu continuer a touché mon torse corazon, il est à toi après tout
Cette phrase m'a comment dire, excité. J'avais envie de Pedro et je pense que c'était réciproque mais je devais me contrôler. Je savais que si je me laissait faire, ce serai fini et je retomberai dans ces bras. Je sors alors de ce silence et l'informe que je travaille. Je continue mon occupation mais son regard m'en empêche.
Je sens alors des bras, ses bras doux et aussi musclé que la dernière fois s'approcher de moi et se poser sur mes hanches. Des petits baisers passaient dans mon cou. Je voulais juste que ce moment existe pour toujours mais je me rappelle du passé.
Je me détache de lui et j'allais partir en direction du salon, mais ses mains me plaquent contre le mur de ma chambre. Il avait ce regard, se regard toujours aussi déstabilisant et excitant à la foi. Il me regardait plus et a commencer à reposer des baisers dans mon cou. Je m'enlève de son emprise mais je ne pouvais plus bouger. Il pris ses mains et me plaqua les bras en l'air.
Pedro: dit moi que t'en a envie
Sarah: on peut pas Pedro
Pedro: alors dit moi non Pedro j'en ai pas envie et je te lâche
Je ne dis rien. Bien sûr que j'en avais envie mais pas après ce qu'il c'est passé au paravant. Les mots ne sortaient plus et Pedro continua ces baisers. Une forme d'excitation ce créa en moi, elle devenait plus grande, plus intense et mon cœur pris le dessus.
Je l'éloigne de moi et il avait compris qu'il se cachait quelque chose derrière mon regard. Il semblait confus mais je l'ai embrassé. Je savais que c'était une mauvaise idée et que j'allais le regretter mais bon comme on dit one life.
Ce baiser était sauvage. On en avait tout les deux envies et ça ce sentait. Il y avait de la passion dans l'air, une passion que je ne pourrai avoir avec quelqu'un d'autre.
On continuai de s'embrasser jusqu'à en perdre le souffle. Ce baiser devenait intense. Il se détacha de moi et commençait à m'enlever mes vêtements. Je me détache de lui, comprenant ce qu'on était en train de faire. Il semblait confus avant que je lui dise
Sarah: c'était pas une bonne idée, on a déconné et ça ne se reproduira plus car j'ai un copain. Si tu pouvais garder sa pour toi merci !
Je n'avais plus le courage de le regarder en face alors je suis partie dehors. Le temps passe et je me rends compte que j'avais des sentiments encore plus fort que ce d'avant notre séparation. Je suis restée encore un moment dehors avant de trouver les garçons. Parmi eux se trouvait mes deux chouchous: Benjamin et Lucas. Je les prends à part et leur raconte ce qu'il c'est passé. Ces deux derniers semblent tout excité. Mais pas moi car je savais ce que sa voulait dire aux yeux de Pedro, il pensait avoir encore une chance. Bien sûr qu'il l'avait encore, c'était le seul qui avait en chance mais c'était trop tard, je ne voulais pas replonger.
Lucas: mais pourquoi ne pas vous laissez une seconde chance ?
Sarah: je veux plus souffrir les gars !
Benjamin: mais tu penses vraiment qu'il va te lâcher après avoir fait tout ça pour te récupérer ?
Sarah: je sais pas je, c'est beaucoup trop confus dans ma tête
Benjamin: laissez vous une chance
Lucas: écoute le, c'est la première fois qu'il dit pas une connerie
Benjamin: ehh dit-il en lui mettant une claque derrière le crâne
Sarah: je vais y réfléchir les gars
On est descendu pour aller dehors et on a pu apercevoir les hommes espagnols en rassemblement. Vu qu'il pleuvait, nous sommes allés dans la salle de jeu où on y a retrouver nos français. Nous allions commencer un baby foot mais les garçons nous ont rejoint. Alors voici les équipes: Ben et Lucas et pour mon plus grand malheur, moi et Pedro. La partie commence et c'est assez silencieux car je ne veux pas perdre, j'ai horreur de perdre et il le sait.
Pedro: dit Sarah, tu veux venir demain à notre match contre la Grèce ?
Sarah: ouais pourquoi pas, Lucas et ben vous venez avec moi ?
Lucas: on peut pas ! Interdit par Didier
Sarah: donc vous logez et vivez avec les espagnols mais n'avez pas le droit d'aller à un de leur match
Benjamin: exact
Sarah: bon bah j'irai toute seule
Pedro: tu mettras mon maillot
Sarah: hors de question !
Benjamin: le seul maillot qu'elle mets c'est le mien
J'ai pu apercevoir un sourire qui c'est transformé en haine. Pedro avait littéralement une envie: le tuer. Ben m'avait lancé un regard et j'ai compris que je le lui devrai. Mais bon, malgré tout je détestais mes deux garçons. J'étais sûr qu'il avaient inventé cette excuse mais je ne pouvais rien faire.
La partie vient de finir et nous avons gagné 8-2. Par réflexe, j'ai pris Pedro dans mes bras et il m'a fait tourné. J'ai senti que nous étions à présent seule, comme si tout le monde autour avait disparu, comme s'il n'existait que lui et moi.
La victoire vient d'être fêté et les gars ont continué de jouer. Pablo a pris ma place tandis que je suis partie vers Kylian. C'était un peu, mon nouveau confident. Je pense qu'il peut mètre de bon conseil car on peut penser que c'est un gamin complètement fou et agité mais c'est tout le contraire, il est calme, posé un peu comme un koala.
Je le prends à part et on commence à parler. Il me raconte un peu son histoire avec Mia, quand Kylian parlait d'elle, on aurait pu penser que c'était un ange, un ange à ces yeux comme Pedro l'était pour moi à l'époque.
Le moment était venu de tout raconter a Kylian. Je ne vais pas vous le cacher, un énorme stress se crée en moi, j'avais peur qu'il me voit différemment après ça mais bon, je pense que lui dire me soulagera un peu. On est parti chercher des boissons, pour ma part un coca et lui un ice tea, puis je commence à tout lui dire dans les moindres détails.
Alors qu'en avez vous pensez ? Enfin un bisou entre nos deux amoureux ! Kylian qui va apprendre toute la vérité j'ai hâte de voir sa réaction. A bientôt pour un prochain chapitre !
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L'enfance nous a réuni et le foot détruit
FanfictionSarah Martinez avait 20 ans. Elle était en couple avec Pedro Gonzalez depuis leur 8 ans. En effet ils se connaissent depuis la maternelle et se sont mis en couple à 8 ans. Personne ne croyais en leur couple et plus le temps passait, plus les gens pe...