Pdv: Sarah
Hortense: allo ma chérie sa va ?
Sarah: oui maman mais faut que je te laisse j'ai pas le temps
J'ai raccroché, je sais que ça ne se fait pas et que j'aurai du lui dire pour la rupture mais c'était trop douloureux pour moi encore. Je me stoppais dans mes pensées lorsque ma psy est arrivé pour me prendre en charge.
J'ai commencé à tout lui expliquer. Ma relation avec Pedro, mes doutes, mes craintes, l'avis de mes proches à ce sujet, la déclaration sur Instagram, la soirée en boîte et même mes rechutes, vraiment tout.
Elle m'a écouté du début à la fin et m'a conseillé de parler avec lui. Évidemment que j'en avais envie mais me dire qu'en lui parlant je saurai si c'est définitivement la fin me ferrai trop mal. Pendant la séance j'ai reçu plusieurs appels de Pedro. Je ne répondais pas par respect pour ma psy mais cette dernière m'a poussé à le faire, j'ai donc pris mon téléphone et j'ai décroché ne sachant pas quoi dire.
Sarah: allo ?
Pedro: ouais t'es où chuis devant ton appart et y'a personne
Sarah: chez ma psy mais pourquoi t'es venu ?
Pedro: je me suis inquiété toute la journée et tu n'as pas répondu alors je suis venu pour savoir si tout va bien. T'arrives quand ?
Sarah: dans une demi-heure le temps de la séance et de rentrer
Pedro: je t'attend
Sarah: mais tu vas pas m'attendre une demi-heure
Pedro: non c'est définitif je t'attend
J'ai raccroché car je n'avais plus rien à dire. Je sais que quand Pedro me dit quelque chose il ne lâche pas la faire alors je n'allais pas débattre pour rien.
Docteur: vous voyez Sarah, s'il ne tenait pas à vous il ne serai pas venu alors prenez ce temps qu'il vous donne pour parler et décidez ensemble de comment vivre par la suite ensemble ou séparément.
La séance c'est terminé et je me sentais apaisé et plus déterminé que jamais pour avoir une discussion avec Pedro. Je gare ma voiture, prend l'ascenseur et je trouve mon ex devant mon appartement et je sens qu'une discussion s'impose.
Pedro: pourquoi t'es pas venu aujourd'hui je me suis inquiétez
Sarah: je me sentais pas bien
Pedro: et avec ta psy ça c'est bien passé
Sarah: justement faut qu'on en parle. Si je suis partie chez ma psy c'est que je suis perdu avec toi. Au début je voulais pas te pardonné et ne plus te parler mais au file du temps, je me suis rendu compte que j'avais envie et surtout besoin de toi, seulement je sais pas comment m'y prendre. Et hier oui j'en ai embrassé un autre et sa a confirmé mes sentiments pour toi. Je voulais allez te parler mais j'ai vu ton post insta et tu disais que c'était définitivement fini et
Pedro: ohh stop Sarah calme toi. Pour moi c'était fini définitivement de ton côté pas du mien
Sarah: donc tu m'aimes toujours ?
Pedro: ta pas tout lu toi dit-il pour m'apaisez tout en m'adressant un léger sourire bien sur que je t'aime toujours
J'ai pas réfléchit et je l'ai embrassé comme si c'était notre dernier baiser. J'avais besoin de lui, c'était un pilier de ma vie en fin de compte. Il n'a pas rejeté mon baiser et ma plaquer contre le mur. C'était tellement parfait. On c'est détaché à bout de souffle mais j'avais besoin de ses lèvres contre les miennes, le goût des siennes m'avait manqué. Son baume à lèvres à la pastèque m'avait manqué, la douceur de ses lèvres m'avait manqué, passer ma main dans ses cheveux m'avait manqué, son regard contre le mien m'avait manqué, quand il me plaquait contre le mur m'avait manqué. Tous m'avait manqué chez lui.
On s'est détaché à bout de souffle. J'avais l'envie de regoûter à ses lèvres encore une fois mais j'avais besoin de reprendre mon souffle et lui aussi. Mon dos était contre le mur, mon front était contre celui de Pedro. Tous semblaient parfait, mais je savais qu'une discussion allait prendre place pour mettre les choses au clair entre nous.
Je ne savais pas quoi lui dire. Il me regardait, attendant des mots qui sortirai de ma bouche mais rien. Je ne savais pas quoi dire, ni même ce que je voulais. Une nouvelle relation avec lui, prendre notre temps avant de rentrer dans quelque chose de sérieux ou tous simplement oublié tous sa et reprendre ma vie sans lui, définitivement.
Cette tension, une tension qui était avec nous depuis nos débuts me perturbais, j'en avais peur, elle me contrôlait et me poussais à faire des choses que je n'aurai pas pas faire habituellement, comme ce baiser.
Pedro: Sarah, j'ai aimé ce baiser, pas toi ?
Je n'osais pas répondre. Bien sûr que j'ai aimé ce baiser mais lui répondre que je l'ai aimé aussi lui aurai laissé une porte libre pour une potentielle relation, mais lui dire que je n'ai pas aimé ce baiser aurai été le perdre pour toujours. Mon cerveau n'avait aucune réponse à lui donner ni aucune directive à prendre. Mon cœur lui, ne parlait plus, il ne me disait plus ce que je devais faire ou dire ni même penser de tous ça.
Son regard portait de la confusion et de la tristesse. Je sentais mes larmes couler le long de mes joues, je ne contrôlais plus rien. De son côté, des larmes étaient coincé dans chacun de ses yeux. Il ne savait plus quoi dire, ni quoi faire. Il récupérait juste son blouson, entraînant ses jambes vers la sortie de mon appartement. Il tourna une dernière fois son regard vers moi en espérant que je sorte un mot de ma bouche mais rien, même si l'envie était présente rien de sortait.
Pedro: j'ai compris Sarah.. t'entendra plus parler de moi
Il c'est dirigé vers la porte et est sorti. Je criai, je m'en voulais tellement, j'aurai pu le retrouver mais j'ai tout gâché, encore une fois. Ma colère se faisait ressentir de plus en plus et je ne pouvais la contrôler, j'ai donc balancé une assiette dans le vide mais suffisamment fort pour la briser.
Alors qu'en avez vous pensez ? Le baiser entre nos tourteaux, mais le départ de Pedro, a bientôt un retour de notre couple favv ?(Je tiens à m'excuser pour mon retard !) A bientôt pour un prochain chapitre !
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Instagram: pedrixstory
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L'enfance nous a réuni et le foot détruit
FanficSarah Martinez avait 20 ans. Elle était en couple avec Pedro Gonzalez depuis leur 8 ans. En effet ils se connaissent depuis la maternelle et se sont mis en couple à 8 ans. Personne ne croyais en leur couple et plus le temps passait, plus les gens pe...