1-Petit chien

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𝐅𝐨𝐧𝐜𝐞𝐝𝐞𝐳- 𝐦𝐳








Prologue 2
(Pdv narratif)











Son membre glissait sans problèmes au fond d'elle, il se plaisait dans ce fond rose chaud et humide..à tel point que quand elle se retira d'un coup, l'enveloppe charnelle de Soa se recroquevilla de frustration.



—..pitié..suffoque-t-il, on aurait dis que sa vie dépendait de la tournante de cette petite bataille de pacotille.


La grande main fine de son ascendante revient lui empoignée les cheveux, il était maintenant dans la contrainte d'exécuter ce qu'elle lui ordonnerait sinon la main de sa partenaire physique le lui obligerait.


Luie leva une de ses jambes et fixa son pieds au mur qui se trouvait dans le dos de Soa faisant volontairement retrouver sa partie intime face au visage du jeunot étonné.


Lèche .Lance-t-elle.



Des traits terrifiants prirent places sur son minois. Ça ne la mettait pas en valeurs, hélas celle-ci n'en avait rien à foutre. Sa demande n'avait pas été fournit dans la minute, elle savait pertinemment que le Brun n'échapperait pas à ses désirs.

Pourquoi réussirait-il à s'en soustraire alors que les autres eux ne l'ont pas fait ? Eh bien il n'y avait aucune excuse méritante qui puisse existé à ses yeux pourtant Soa mourrait d'envie de se dédouané.


Ce dernier trouvait ça repoussant non pas de prendre goût à la cyprine de sa dominatrice mais d'avaler une gorgée de son propre sperme qui était mélanger au liquide de sa chère. Son visage fut brutalement pressé dans le jupon de celle-ci l'empêchant de respirer.
Sa langue mouvait dans tous les sens faisant perdre la tête de sa testeuse.


C'est bien petit chien..continue..lèche moi mhmmm..



Ravie elle prit facilement le contrôle du visage du noiraud pour étaler sa partie intime et ses liquides sur la figure ce dernier.
Il se sentit béni.







Chapitre 1
(Pdv soa)




Salit, calomnié ou même déshonoré sont les thermes que je rêverais de crié sur tout les toits. L'on m'a dit que l'humain ne mourrait pas de honte pourtant elle me strangule. Le déshonneur marque mes joues d'énormes plaques de rougeurs me grondant d'avoir apprécié notre ébats. Alors que je la regarde se rhabiller sûrement pour m'abandonner et retourner à ses occupations, je ne peux m'empêcher d'en vouloir à mes lèvres de s'êtres soudées entre-elles à la fin de mon orgasme.


Le silence était un ennemi à abattre, je devais m'imposer mais il me semblait immuable.


Suis-je condamné à vivre dans son ombre à présent ? L'élastique du latex claque contre sa peau, elle qui est si blanche que l'ont pourrait voir à travers. Elle fait glisser ses cheveux de ses épaules à son dos puis attrape la poignée ne se souciant plus de moi.



Le claquement de porte est le point final correspondant à tout les points d'interrogations qui flottent dans mon esprit. Le plaisir part en fumée, Luie à toujours été comme ça. Elle amène le bonheur et les bons moments puis se transforme en croc-mitaine, reprenant tout avec elle avant de partir à tout jamais. Sur son passage réside débris du chaos et espoirs décimés. C'est une nomade, un papillon qui n'aime pas loger bien longtemps entre les métacarpes de son entourage ou les maillons d'une routine. Ce détaille elle n'a pas jaugé bien de me le préciser avant de me séduire, avant de venir vers moi m'affirmant qu'elle voulait quelque chose avec moi, de me convaincre d'emménager avec elle pour au final me jeter à la porte. Je relève mes sourcils sentant la pointe de l'injustice menacée de transpercer ma gorge nouée.



13Où les histoires vivent. Découvrez maintenant