4. All girls are the same

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All Girls are the same


Artémis :

- Ne bougez pas Mademoiselle, votre père doit venir vous chercher dans 5 minutes.

Sans que je puisse lui répondre, la femme de maison d'environ 50 ans claqua la porte sur moi, me laissant les bras ballant. Je me suis réveillée ce matin bien plus en forme que la veille. Bien que ma nuit fût pour le moins... Bizarre.

Après la rencontre avec le gars chelou dans la chambre d'à côté, j'avoue ne pas avoir réussi à fermer l'œil tout de suite. Mais ce qui m'a rassurée c'est qu'il était forcément sous les ordres de mon père pour être ici et donc que je ne risquais pas grand-chose.

J'avais pour objectif de demander des explications à mon père concernant toutes ses personnes dans cette maison. Et d'ailleurs, le réel but d'avoir acheté une maison aussi grande.

En me réveillant, des habits propres m'attendez dans la salle de bain, ainsi que ma trousse de toilette. Je portais une petite robe noir qui m'arrivée au-dessus des genoux, avec des converses a plateforme blanche. Mes cheveux était remontée en une queue de cheval haute et deux petite mèches dehors pour un petit effet décoiffé.

Le bruit de l'aiguille de l'horloge commençait à me rendre anxieuse, et j'en profitais pour faire un tour de ma chambre, dans les ton clair comme j'adore. Une coiffeuse magnifique et un baie vitré avec un petit balcon qui donne vu imprenable sur les tours de NY.

Mais alors que je m'apprêtai à passer un coup de téléphone à mon père :

- EN POSITION !!

Une voix masculine hurla. Ca provenait de l'extérieur alors sans attendre je marche en direction de mon petit balcon afin de voir ce qui se passait en bas. Quand tout à coup, mon père entra dans la chambre sans frapper ce qui me value un arrêt cardiaque ! Au moins...

- Excuse-moi ma chérie, je ne voulais pas te faire peur, j'aurai du frapper.

Ca tu l'as dit... Mais je ne dis rien, parce que mon père arboré le visage qu'il avait au travail, malgrè ses mots doux. Il était différent.

- Viens avec moi.

Ok... Il est vraiment sec. Sans attendre, je le rejoins et il me laisse passer devant avant de fermer la porte derrière moi.

- Par ici.

Je le suis, et en passant devant la porte de la chambre de la dite chambre de hier, en me demandant qui pouvait bien être l'homme que j'avais vu et qui connaissait mon prénom. Je n'ai même pas pu voir son visage.

Nous continuons notre marche a travers la maison plus luxueuse que ce que j'avais connue avant et quand nous arrivons devant une immense porte d'entrée mon père se tourna vers moi et me dit :

- Ma chérie. Dehors il y de nombreux hommes sous mon commandement, et je vais simplement te présenter.

Et la porte s'ouvrit...

Je m'avance devant mon père et vois une trentaine d'homme de dos au loin debout face à une scène. Je me retourne vers mon père qui affiche un visage sans émotions.

- Pourquoi n'ont-ils pas de chaises pour s'assoir ?

Son visage se détend et passe par l'interrogation.

- Je... Parce que cela ne va pas durer longtemps

Je marche en direction de l'estrade, suivit de mon père. Je passe a coté des hommes et aucun d'eux ne tourne la tête vers moi. Comme si je n'existant pas je monte sur l'estrade suivie de près par mon père. Et ce que je vis me fit m'arrêter de marcher d'un coup. Tous les hommes habillé en noir, portaient un masque de récupération chacun, mais amélioré. Un masque noir qui cache leurs trait et laisse seulement de visible leurs yeux.

GHOST MERCENARYOù les histoires vivent. Découvrez maintenant