love at a glance

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« non arrête s'il te plaît »

« arrête toi »

« je n'en peux plus ARRÊTE »

« lâche moi tu me fais mal »

« STOP »

« tu vas me tuer arrête !! »

Ses phrases tournent en boucle dans ma tête jour et nuit.

« C'est maintenant l'enfer, comme chaque jour je suis une proie faible à attaquer. On s'en prend à moi comme si j'étais une poupée en plastique. On me tire les cheveux comme si j'avais des cheveux artificiels, mes cheveux doivent s'emmêler si facilement autour de ses doigts. On s'en prend à mon visage comme si c'était un enfant qui joué avec sa poupée mais qui ne savait pas trop comment la tenir ou un enfant qui mettait des coups à sa poupée quand elle faisait des bêtises car il pensait que c'était totalement. On s'en prend à mon corps si fragile, il avait des bleus partout comme si un enfant avait colorié sa poupée de feutre bleu.

J'étais mise à nu devant cette personne que ce soit au sens propre ou au sens figuré. On m'avait détruite mentalement et physiquement et personne ne s'en soucier. Qui serait capable de venir me sauver à cette instant précis ?

Mes cries ? ils ne servaient à rien personne ne viendrait me sauver mais pourtant je persistais. Peut-être que le miracle existe mais je n'y crois pas. Je hurle à n'en plus avoir de voix.

Il était là devant moi je savais ce qu'il allait faire.

BOUM

BOUM

Est-ce les battements de mon cœur ? non je ne crois pas.

Il s'approchait de plus en plus de moi, main sur sa ceinture. Non tout sauf ça.. il ne va pas en arriver là.

Peu importe si je n'ai plus de voix il faut que je me sauve, je crie de toute mes forces.

— ALEYNA

Ce n'est pas possible c'est pas lui qui a pu crier..

— NON NE FAIT PAS ÇA !! criais-je en utilisant toute mes dernières force »

Je me réveille en sursaut, Aleyna ce n'était qu'un cauchemar tout va bien.

— putain aleyna c'était quoi ça ?

Je relève la tête en sursaut encore une fois je ne l'avais absolument pas vu. Dayron assis là sur mon lit, très proche de moi.

Je tourne la tête vers la porte que j'avais fermé hier soir, j'en suis certaine.

Il suit mon regard et comprend très vite que je me demande comment il a fait pour rentrer sachant que j'avais fermer ma porte à clé.

— obligé de défoncer la porte désolé mais tu vas toute suite m'expliquer c'était quoi ça ? dit-il en me fixant

On se regarde dans le blanc des yeux malgré la noirceur de la pièce.

Les images de mon cauchemar sont vite remplacé par les images de notre baiser de y'a quelque heures, c'était si doux si magique. Mais pour moi, ce baiser ne compte pas. Il ne comptera jamais.

Ce baiser signifier juste qu'il voulait m'aider pour ces hommes, rien d'autre.

Absolument rien d'autre.

— jamais dayron, jamais tu sauras maintenant sors s'il te plaît, dis-je durement, je déteste le fait qu'il sache pour mes cauchemars, déjà que ça ne me plaisait pas pour mes crises d'angoisse mais là je le supporte pas, je veux qu'il parte maintenant