Assise parterre dans ce champs vert et humide à cause des larmes du ciel, une bouteille à la main sûrement vide vu l'allure à laquelle je l'ai bu.Je penses.
Comment j'ai pu en arriver là ?
Tout à toujours été comme ça, je suis pourtant sensée le savoir.
L'espoirs n'existe plus depuis bien longtemps, il a d'abord été remplacé pars de l'incompréhension, puis pars des larmes, et enfin par l'acceptation.
Ma vie est bien misérable.
Peut être que c'est tout simplement moi qui suis misérable ?
Je ne sais plus.
Je suis fatiguée de tout ça.
Maman me dirait Lise ne pleur pas, tu sais que tout finis toujours par s'arranger. Ai confiance en moi.
Petite j'y croyais, alors j'avais de l'espoir. Puis elle a fini par choisir de tout empirer.
Je crois que je te déteste maman.
C'est pathétique comme vous êtes tous minables.
Je crois que je suis vouée à commettre des échecs encore et encore.
Ne me parlez plus d'amour. Je trouve ça pathétique, l'amour.
J'aimerais pouvoir dire qu'un jour j'ai réellement aimé quelqu'un. Mais comment pourrais-je ?
Tout le monde m'a toujours fait me sentir comme la pire des personnes.
Je pris la dernière cigarette de mon paquet avant de venir la coincer entre mes lèvres.
Je cherche du touché mon briquet, que je ne trouve pas.
-Putain sérieusement ?
J'ai besoin de nicotine pour éviter de trop réfléchir.
Et voilà que la clé de mon paradis à disparue ?
Je vais devoir aller en acheter un.
Je me lèves en constatant que mes fesses sont humides à cause de l'herbe.
-Y'a vraiment rien qui va aujourd'hui.
Je passe ma main sur celles-ci afin d'élever des morceaux de terre. Puis je me met à marcher afin de sortir de ce parc.
J'arrive rapidement sur le macadam et marche encore afin d'arriver sur le trottoir.
Le soleil pointe le bout de son nez après 1h de pluie battante.
Ce qui me réchauffe presque immédiatement.
Le bureau de tabac n'est plus qu'à environs 500m de moi, je hâte le pas pour y arriver plus vite.
Cette ville est plutôt bondée de monde, elle est très grande, c'est ça New York.
Je vis dans le quartier de Manhattan.
Mon père travaille pour une entreprise assez connue, alors on peut dire que nous sommes plus qu'aisés.
J'arrive devant le bureau de tabac et entre dans celui-ci, la chaleur viens frapper mon visage ce qui est plus qu'agréable.
-Bonsoir, un paquet de Marlboro classiques s'il vous plaît.
-Il me faut une pièce d'identité jeune fille. Il me regarde sortir ma carte d'identité, ainsi que mon billet de 20 dollars.
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𝐋𝐞 𝐜𝐢𝐞𝐥 𝐦'𝐚𝐭𝐭𝐞𝐧𝐝𝐫𝐚
De TodoLise, insociable depuis sa plus tendre enfance si on peut la nommer comme « tendre ». se retrouve dans une situation plus que douteuse avec un homme plus que douteux lui aussi. Ses décisions passées et futures en sont probablement la cause. Mais c...