Les fils d'un amour impossible

Grindeldore : une belle soirée d'été

Personnages : Albus Dembeldore, Gellert Grindelwald.

Il faisais beau et chaud dehors le soleil était encore haut dans le ciel et une légère brise m'effleurais le visage.
je descendit un peu plus loin dans la rue avec plusieurs livres à la main.
Je sortis d'une bourse en cuir une petite pièce d'or que je caressa, aussitôt une douce luminescence jaune en émana. La fenêtre à l'étage d'une maison voisine s'ouvrit dans un léger cliquetis et un jeune homme glissa sa tête à travers.

'' Que faisais tu ? J'ai attendu ton arrivé toute l'après midi. '' Dit le jeune Grindelwald

'' J'avais des obligations familiales '' dis je
d'un ton neutre.

'' Je vois, allons dépêchons nous il va bientôt faire nuit '' sur ce il disparut et après un centième de seconde après il réapparu à la porte et m'emboîta le pas.
'' je te suis.'' dit t'il

Nous arrivâmes au bord d'un lac bordé d'une plaine, nous nous installons dans l'herbe fraîche.

'' j'ai fait une découverte qui va prendre un tournant décisif dans la quête des r.l.m.''dit t'il
'' Qu'est-ce donc ?''lui demandai je
'' je sais qui sont les trois frères et où l'un est enterré.'' Me dit t'il une lueur de fierté dans le regard
'' Dit moi en plus.'' Lui dis je de plus en plus intrigué
'' J'ai remonter la liste des possesseurs des reliques et le plus vieux récit rapporte l'histoire d'un homme qui s'est fait lamentablement assassiné d'un coup de poignard dans son sommeil après s'être vanter de sa puissance aux combat.''me raconte t'il

'' Cette description ressemble à tout point au compte.'' Dis je

'' J'ai moi aussi fait le rapprochement et j'ai demandé à ma tante qui était cet homme, elle m'a alors répondu qu'il était l'un des trois frères Peverell, il à était enterré ici à Godric's Hollow, je me suis donc rendu sur sa tombe et  je l'ai annoté du signe des reliques de la mort.''me dit t'il

'' Très bien mais cela ne nous dit pas où est aujourd'hui la baguette, ni si c'est bien l'homme que nous cherchons.''dis d'un ton qui se voulais réfléchi mais qui paraissait plus las

''Tu as tout à fait raison et à cela je te répondrai qu'il faut chercher qui à tuer Ingnotus Peverell et remonter sa trace.'' Me repondi t'il

'' Bien par où commençons nous ?'' Dis je

'' Se reposer, je suis exténué je n'ai pas dormi depuis deux jours.''dit t'il en bâillant

À ses mot il s'allongea dans l'herbe et je fis de même. Une étrange sensation me prit dans le bas du ventre comme si mes entrailles se retourner et mon cœur se mit à battre à mes tempes, cette sensation me prenait souvent quand je me reprocher de lui où que je pensais à lui avec elle une étrange envie de le serrer dans mes bras où de l'embrasser, c'est si étrange je ne devrais pas avoir ses pensées mais cela ressemble drôlement au effet que me disait Elphias  au sujet d'une certaine Alice dont il était tombé fou amoureux.

'' Albus puis je te poser une question ?'' Me dit t'il en se tournant vers moi me coupant dans mes pensées

'' Oui évidemment.'' Oui répondis je un peu désorienté

'' Que ressent tu quand tu es près de moi ?''
Me demanda t'il d'une voix douce.

Je me figa et entrepris de me calmer avant qu'il s'en apercevoir, C'est étrange c'est comme si il avait lu dans mes pensées ce qui me terrifia encore plus quel imbécile je suis me dis je.

'' Gellert, je ne suis pas sûr de comprendre...'' dis je d'une voix perdu

'' Albus je sais très bien que tu as compris et que tu essaies seulement de ne pas y répondre, de peur certainement que notre amitié ne se brise où bien que j'aille dire à tous le village ce que tu m'auras répondu. Mais sache que cela n'arrivera pas alors répond moi en toute sincérité.'' Me dit t'il

''Que ressent tu près de moi ?'' Me redemanda t'il de sa même voix douce, presque suave, ce qui me procura un frisson dans le dos .
Il me regarda dans les yeux sans bouger comme pour m'inciter à parler, je finis par parler en évitant soigneusement son regard.

'' Gellert... je ne sais pas... C'est comme si je ressentais un attachement profond entre nous.''

'' Mais encore.'' Me demanda t'il en me prenant le visage entre ses doigts m'obligeant à le regarder puis il recula en sachant que je ne bougerai pas entant j'étais figé.

'' Exprime clairement se que tu ressens.''M'ordonna t'il toujours en me regardant

''Gellert, il est difficile de trouver les mots justes pour exprimer les tourbillons d'émotions qui habitent mon cœur depuis notre rencontre. Ton esprit enflamme mon âme d'une manière que je n'aurais jamais pu imaginer.''

'' C'est mieux mais qu'entend tu dans '' enflamme mon âme " ?'' Me demanda d'un air intrigué

''Il est difficile de mettre en mots les sentiments qui brûlent en moi depuis que nous nous sommes rencontrés. Il y a quelque chose de magique dans notre connexion, quelque chose qui transcende les limites de l'amitié et se transforme en quelque chose de bien plus profond et puissant.Quand je pense à toi, mon cœur s'emballe et mon esprit s'égare.Tu es la personne la plus fascinante que j'aie jamais rencontrée.'' Dis je le rouge aux joues

'' je vois... alors tu ne sais pas quel est ce sentiment où tu ne veux pas le savoir ?'' Me demanda t'il tout en se rapprochant de moi, nos souffles se mélangeaient et nos lèvres étaient séparé seulement par quelques centimètres

'' ... '' J'étais tellement absorber par l'envie de combler l'espace que j'en avais oublié la question.

'' C'est si dure de me répondre ?'' S'impatientait t'il. Il se rapprocha encore jusqu'à frôler mes lèvres .

'' Gellert... Je t'en prie arrête.'' Suppliais je

'' Quoi donc ? Qu'est-ce qui te dérange ? Notre proximité ou l'écart entre nous ?'' Dit t'il . Je ne pu répondre toujours figé.

'' Albus n'est pas peur, dis moi donc se qui te dérange.''

'' Je ne sais pas.'' Dis je d'une voix terrifié.
Je sens que je pers le peu de moyens qu'il me reste, ainsi le vieux fantôme de ces nuits à me poser tellement de questions sur ce que je ressentais pour lui et est ce qu'il est normal pour un homme de ressentir autant de choses pour un autre où comment appelle-t-on cela , l'amitié, la fraternité, l'administration...

'' Ce qui te dérange, c'est de ressentir de l'amour pour un homme n'est ce pas ?''

C'est donc ça l'amour ? Non impossible je ne peux ressentir ça,
ma mère en est presque morte pour mon père quand il a était envoyé en prison,
Elphias était complètement fou quand il a appris que Alice sortait avec un autre que lui .
Et moi que va t'il m'arrivait à cause de l'amour?

'' Tu te pose trop de questions Dembeldore.''
Me dit Gellert avant de se reculer, de se lever et de me dire.

'' On se retrouve demain ici à la même heure.'' Et il parti me laissant seul avec mes questions.

~•~
Voilà j'espère que ça vous aura plu et désolé pour l'attente et les fautes d'orthographe.