Grindeldore : un bouquet de fleurs

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                        - 14 juillet 1899 -

Je marchais face au vent, le soleil commencer à se couchait, la prairie remplis de fleurs roses et bleues danser avec le vent. Albus me souriait avec tant de joie, je tenais un bouquet cueilli avec les plus belles fleurs que j'avais trouvé, cacher dans mon dos pour ne pas qu'il le vois.

- Que me cache tu Gellert ? Me demanda Albus avec amusement.

- Absolument rien. Dis je le sourire aux lèvres

Albus regarda au dessus de mon épaule, et je pivota en même temps afin qu'il ne le vois pas.

- Gel' montre moi se que tu cache. Me dis Albus un brin frustré.

- Tu es trop curieux Albus. Dis je riant,ce qui le un peu rougir.

Je n'étais plus sur de lui offrir finalement , cela me paraissait ridicule ... Mais au vu de son insistance je lui offris tout de même.Je scruter son expression, lui n'osais pas me regarder de toute évidence mon cadeau le gêner.

- Oh Gellert, elles sont si belles, Merci. Me dis Albus le rouge joues.

- Je suis si content que cela te plaise. Dis je avec un sourire en me rapprochant de lui.

- Puis-je te demandais pourquoi m'a tu offert un bouquet ?Ce n'est pas anodin d'en offrir à ses amis.
Me dit t'il un brin curieux mais surtout très gêner.

- Alors à qui offre t'on des bouquets de fleurs généralement ?
Demandais-je sérieusement. Il rougit encore plus si c'était possible .

- À... Enfin tu vois... Me dit t'il en évitant mon regard.

- Non je ne vois pas, à qui donc ? Dis je amusé

- On n'en offre généralement à sa petite amie. Me dis t'il gêner et sans me regarder.

- Oh, je vois... et donc si on aime un homme et non une femme ça ne fonctionne pas. dis je innocemment.
Il me regarda d'un air interdit.

- Gellert... tu... Enfin, non laisse tomber. Me dit t'il.

- Si dis moi . Dis je curieux

- Et bien, tu viens de dire que... que tu m'aimer? Me dit t'il en détournant le regard

- Oui, il me semble que c'est ça non ? Dis je me rapprochant de lui.

- Gellert tu te joue de moi, arrête. Me dit t'il en partant. Je lui attrapa le bras et me colla  à lui.

- Al' tu c'est bien que non. Dis je avant de l'embrasser. Il mis ses mains autour de mon cous et je lui pris la taille. Nous nous séparons par manque d'air. Je pris son visage dans mes mains et je l'embrassa une seconde fois.

- Gellert tu es merveilleux.me dis Albus entre deux baisers

      
                       - 14 février 1997-

Je suis dans ma cellule à Nurangard, je n'ai pas vu Albus depuis notre combat.

Une porte s'ouvre et Albus apparaît devant la grille, je devine que c'est lui grâce à ses sublime yeux bleus, ma vision est brouiller par mes larmes.

- Pourquoi après tant d'années Albus ? Je suppose que tu viens me dire à dieux. Dis je d'une voix éteinte par tant d'années sans être utilisé.

- Gellert, je ne pouvais pas, je suis désolé. Me Albus dis d'une voix brisée en entrant dans ma cellule et en s'asseyant sur mon lit.
Je ne pu m'empêcher de le prendre dans mes bras, malgré les années je n'ai jamais cessé de penser à lui.

- Gel', sache qu'il n'y a pas un jour où tu ne me manque pas. Me dit Albus en pleurant, ce qui me fit éclater en sanglots.

- Tu m'aime toujours ? Après tout ce temps la question peut paraître bête mai~.

- Oui, je t'aime et encore plus si c'est possible. Me dis t'il en me coupant et en me faisant un regard qui me fit fondre.

- Al' moi aussi.Dis je.

- Tu te souviens de notre premier baiser ? lui demandais je.

- Évidemment, comment l'oublier ?Tu m'avais offert le plus beau de tout les bouquet, je le garde précieusement sur ma table de chevet.

- Oh, Al' tu te souviens du sortilège que je leur avais lancées ?

- Oui, tu m'avais dis que ces fleurs sont éternels comme ton amour pour moi.

- Je peux t'embrasser ? Lui demandais je timidement.
Il se tourna vers moi et nous échangions notre dernier baiser avant que la mort nous sépares.

~•~
Merci d'avoir lu et désolé pour les fautes.

Les fils d'un amour impossible Où les histoires vivent. Découvrez maintenant