Les fils d'un amour impossible

Grindeldore : par la barbe de Dembeldore

Il faisait nuit, cela devait faire quatre heures que Dembeldore discuter avec le professeur McGonagall.
Puis on en  vient au moment où Minerva ne put s'empêcher de poser une question qui lui brûler les lèvres depuis un moment.

-" Depuis combien de temps vous êtes vous couper les cheveux et la barbe, ne serai t'il pas bon de vous redonner un peu de jeunesse ?"

Dumbledore s'assit confortablement dans son bureau, tandis que son regard se perdait dans les flammes crépitantes de la cheminée. Il semblait réfléchir à la question. Il se demandait si il était judicieux de lui dire la vérité et puis il se dit qu'il pouvait bien lui répondre alors il dit:

"Minerva, je vais te confier quelque chose que peu de personnes connaissent", commença Dumbledore d'une voix calme mais empreinte de nostalgie. "Depuis le 12 janvier 1945 je n'ai plus jamais coupé ma barbe ou mes cheveux et je ne souhaite pas que cela change.''

McGonagall leva un sourcil interrogateur,

"N'est ce pas la date d'enfermement de Gellert Grindelwald ?Albus,Je ne peux m'empêcher de me demander pourquoi vous avez pris une telle décision."

Un sourire triste apparut sur le visage de Dumbledore, tandis qu'il se perdait dans ses souvenirs.
"L'homme que j'aimais et que je ne peux le nier aimer encore ne pourra plus jamais me voir, Minerva. Il ne pourra plus jamais contempler mon visage ou toucher mes cheveux. Pourquoi me donner cette peine, alors?" Dit t'il en étouffant un sanglots.

McGonagall posa délicatement sa main sur celle de Dumbledore, compatissante.

" Oh Albus...'' Dit t'elle émue ''je comprends votre peine, mais n'est-ce pas un peu extrême de ne plus jamais prendre soin de vous-même?"

Dumbledore tourna son regard vers elle avec une lueur de tristesse dans les yeux.

"Peut-être, Minerva. Mais chaque fois que je regarde dans le miroir, je me souviens de nous... Son sourire, ses cheveux, son rire... de notre amour. Et ne pas changer mon apparence me permet de garder un lien avec ce passé, aussi douloureux soit-il."

McGonagall acquiesça doucement, tandis que Dumbledore font en larme.
Les deux amis restèrent silencieux laissant l'émotion flotter dans l'air.