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Je rêve ?! Une personne m'avait prise dans la rue pour je ne sais quelle raison et c'était mon père ?!

P - Hanzel. Tu n'a pas changé, depuis  n
le temps que je voulais te revoir.

Son regard ne m'inspirais pas confiance, je reculais mais il s'avançait vers moi. On était deux dans une pièce isolée, il n'y avait rien à l'intérieur à part une chaîne. Je m'imaginais le pire.

H - Que ce que tu me veux ?! Tu disparaît de ma vie puis la d'un coup tu réapparais ? C'est une blague ?

P - tait toi et profite.

Il me gifla puis mis sa main sur mon coup. Je pouvais plus reculer, il y avais un mur derrière moi. Il attacha mon coup à la chaîne pour que je ne puisse pas bouger. Je rêve ?! Tu fais une gosse pour
le toucher après ?? C'est vraiment degueu .

J'hurla de toutes mes forces espérant que quelqu'un m'étende. Mon père me mît un coup de genou dans le ventre avait de gueuler.

P - Ta gueule !

Mais ils ont fait pipi dans sa tête ?! Il me dit de pas crier mais il le fait ? MDR ?

Bordel, j'avais envie de pisser. Mais je pouvais pas bouger. Je vis le gros porc qui me servait de père assis à côté de moi.

H - j'ai envie de pisser.

P - retiens toi.

H - je peux pas.

J'avoue j'avais exagérée la chose. Mais je voulais pas rester là toute ma vie.

Le porc se releva en soufflant.

Par contre sans rire j'étais à deux doigts de me pisser dessus.

Il me détacha puis me prit pas les cheveux pour m'emmener dans la salle de bain.

Il resta devant pendant que je me dirigea vers les chiottes.

H - heu. Tu vas pas rester là ?

P - si.

H - ah non. Tu pars.

P - aller fait ce que tu a à faire.

H - tourne toi alors.

Il re souffla encore, il se retourna puis je fit ce que j'avais à faire.

Une fois terminer. Je regarda si il y avait pas une éventuelle fenêtre, mais rien. J'allais me laver les mains mais je le fit emporté par le porc qui me rattacha presque immédiatement.

P - on s'ennui la, non ?

H - trop.

Je penses que c'était la pire réponse que je pouvais dire. Mais bon. On ne pouvais pas revenir en arrière.

P - on va s'amuser un peu alors.

Il se leva puis alla chercher une batte de baseball. Je savais déjà ce qui allait m'attendre.

A chaque coups qu'il me donnait, je poussai de petits cris de douleurs, je n'avais pas le droit de crier fort au risque que les coups soient plus forts. Un enfer sans fin. Décidément, j'aurais jamais ma place dans ce monde.

Tom, Bill, Gustav, Georg, ils sont plus la. Je sais pas ce qu'ils font en ce moment même. Mais bon. Je repensais au baiser que Tom m'avait offert quelques heures au paravant.

PDV BILL

Tom et moi étions maintenant au poste de police, on stressais à mort. Tom culpabilisais de l'avoir laissé seule lorsqu'elle était défoncée. Je lui prit la main tout en remplissant une feuille pour enlèvement. Il serra ma main de plus en plus fort. J'essayais de le réconforter.

Electricity 🎸Où les histoires vivent. Découvrez maintenant