THE STONE

Lui ?

Hey !
J'espère que vous allez bien !
Je suis de nouveau désolée, ce chapitre n'est pas non plus corrigé...
Vraiment, pardon🙏

J'espère tout de même que vous allez prendre plaisir à lite la suite de cette histoire !

Que du love💕
E'🌻

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Mes jambes commençaient à fléchir.
J'avais beau courir de toute mes forces, l'homme était plus rapide que moi.

Je pouvais entendre sa respiration saccadé par dessus la mienne. Pour ne rien arranger, la pluie commençait à débouler. La lune n'était même pas visible pour m'éclairer.

J'essayais tant bien que mal de le semer en passant par des ruelles différentes, plus sombre encore, mais rien ne changeait. Il était toujours là.

Et si je me faisais réellement prendre ? S'il arrivait à m'attraper ?

Je ne veux pas être une de ses victimes dont on entend parler à la télé. Ces choses-la sont ignobles.

Par chance, ou peut-être parce que les Dieux mon entendue, je vis une lumière au bout d'une ruelle. C'était un lampadaire.

Je pris mes dernières forces en mains, ou plutôt en jambes, et courue le plus vite possible vers cette lumière.

Je ne m'attendais pas à ça. Pas à un restaurant, surtout pas vue le temps. Je remarque facilement que tout le monde était rentré à l'intérieur. Pas étonnant à vrai dire.

Sauf une personne.

Un jeune homme. Il devait avoir mon âge. Ou peut-être plus âgé.

Ce qui était bizarre est que, même sous la pluie, il restait dehors. Un café, sûrement rempli d'eau maintenant, était posé sur la table. Il était sur son téléphone. Sa capuche était rabattue sur lui.

Une idée illumina mon esprit, mais ça pouvait être dangereux. Comment je pouvais savoir que cet homme ne me voulait pas du mal, lui aussi ?

Les pas de l'inconnu se faisait plus bruyant et plus proche. Ma panique repris de cours.

Je n'avais plus le choix. Je devais mettre en exécution mon idée.

Aller Winter...c'est pas bien compliqué.

C'est pas comme si tu étais insociable en plus.

Je m'approchai de l'homme au café d'eau, très peu sûre de moi. Enfin, comme d'habitude.

Mon ombre passait devant lui et il relevait la tête. Ses cheveux étaient déjà mouillés malgré sa capuche qui le couvrait. Ses yeux étaient aussi noir que mon âme. Ils me perçaient de l'intérieur.

— J-je...j'aurais besoin d'aide, s-s'il vous plaît...lui dis-je en bégaient sans le vouloir.

Il me regardait de manière étrange, comme s'il se demandait si ce que je disait était vrai. Pourquoi mentirai-je ? En pleine nuit ?

— Qu'est-ce qu'il se passe ? Me demande t-il.

Je remarquais qu'il avait un léger accent. Espagnol.

J'essaie de lui expliquer calmement, mais je n'ai pas le temps de finir qu'il se leva de sa chaise.

Pendant un instant, je pense qu'il va m'abandonner, qu'il va me laisser me débrouiller. Mais ce n'est pas le cas.