Chapitre 5

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Une fois arrivé, je vis la porte en trouverte et mon père assis à la ta le une bouteille à la mains.

Père : qui m'a donner une salope comme fille ? Tu rentre à 18h maintenant ?! Tu fais les trotoire traîner ! Je veux pas de ça sous mon toit !

Il jetta sa bouteille de verre sur le mur à coter de ma tête par réflexe je m'étais couvert le visage. Je ne répondit pas et alla dans la ma chambre. J'essaya de m'endormir au plus vite pour que le lendemain arrive, ce qui marcha assez bien. Puis s'en suivis de la journée de cours et du cours de karaté mais arrive au dojo, il y avait une foule qui attendais déjà devant. La vidéo de miguel se battant à eut un grand effet au près de la jeunesse. Le sensé semblais déconcerté devant tout ce monde.

Dimitri : pourquoi je t'ai laisser me convaincre ? C'est contraire à toute mes valeurs que je défend. C'est genre un cours de sport supplémentaire sans aucune raison.

Eli : hum.. On pourrait essayer voir ce que c'est...Tu a vu la baston. Miguel déchire sa race.

Tp : et c'est qu'un cours de karaté, d'accord ça risque d'être violent psychologiquement et physiquement mais je suis sûre que ça vous ferra du bien.

Sensei : bon alors aujourd'hui on va commencer par... SILENCE !

Il rapella tour le monde a l'ordre et le cours débuta normalement dans un silence tous en ligne. Il critiqua la chemise de Dimitri, le sourire d'un mec, le physique d'un gamin en lui stipulant que juste en le regardant il avait l'impression d'être puceau. Le Sensei à vraiment une drôle manière d'être mais cela le rend spécial on peut dire, comme authentique.

Sensei : j'ai beau faire le tour du dojo je ne vois pas de futur cobra kai. Je voit des losers, je vois intellots, un petit gros à casquette et des ninards qui pointes. Mais bon au cours de ma brève carrière de Sensei j'ai également vu des miracles. Alors peut être qu'il y a quand même de l'espoir. Mais je dois voir ou vous en êtes. Alors formez les rang ! Ça veut dire mettez vous en ligne.

Les élèves se mirent en 3 ligne deriere miguel Aisha et moi. Le Sensei avait l'air de perdre espoir. Ce qui le do'na presque envie de rire. Une fois tout le monde en place on commença avec des coups de point direct. A chaque kiai du sensei on s'exécuter.( kiai : nom du petit cri pour les temps fort des katas en karaté et aussi le lancement des instruction d'un sensé.
). 

Sensei : hé la balafre ! Ouais toi la avec la lèvre chelou, à qui tu crois que je parle ?

Dimitri : es cusez moi monsieur Laurence.

Aisha : Sensei Laurence !

Dimitri : ok. Sensei Laurence, vous ne devriez pas vous moquez de l'apparence physique de quelqu'un.

Sensei : ha ouais ? Vraiment ? Je dois pas faire allusion à sa lèvre du coup ?

Dimitri : bha non, c'est ca

Plus la conversation continué plus eli semblait être de plus en plus mal à l'aise.

Sensei : c'est peut être ce que l'on vous apprends à l'école, mais dans le monde réel on peut pas partir du principes que les gens ce comporteront comme ils faut. Tu a compris la balafre ? Si tu peux pas encaisser une van comment tu réagira avec un coup dans les dents ?

Dimitri : en apelleant la police ?

Miguel : Dimitri c'est bon lâche l'affaire.

Dimitri : quoi ? Il est au courant que les nazis ont perdu la guerre non ? C'ets vrai ? Pourquoi je devrais en avoir peur ? Par ce qu'il a un serpent sur son mur ? C'est pas comme si c'etais un prof qui pouvais nous coller une mauvaise note ? C' est nous qui le payons, il travaille pour nous. Il peut pas vraiment nous faire de mal.

 ( cobra kai ) eli et miss parfaite Où les histoires vivent. Découvrez maintenant